Le directeur de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, Dr Amadou Guèye Diouf, a fait face à presse ce lundi, 11 avril 2022, pour apporter des précisions sur le décès de la regrettée Astou Sokhna.
« C’est une situation qui fait mal à l’ensemble du personnel. Nous voulons, de manière très forte, dire que c’est une situation que personne ne souhaite, que personne n’a souhaitée, mais qui est survenue », a regretté le directeur de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, Dr Amadou Guèye Diouf, rapporte Voxpopuli.
D’après Dr Diouf, le nécessaire a été fait, en termes de procédure administrative par rapport à la structure, mais également par rapport à la tutelle.
« Nous avons constaté qu’un certain nombre d’informations ont été relayées dans la presse, alors que la plupart de ceux qui relaient ces informations n’ont pas pris l’attache de l’hôpital pour recueillir sa version. Nous comprenons qu’il y a une part d’émotion dans ces réactions-là », déplore-t-il.
Pour faire « la lumière sur ce qui s’est passé », le directeur de l’hôpital estime que « les services de la maternité ont fait leur devoir, c’est-à-dire qu’il y a un audit du décès qui a été fait. Et, à aucun moment, il n’est ressorti qu’une césarienne en urgence avait été indiquée, contrairement à ce qui est apparu dans la presse ».
Je crois que tu devrais la fermer plutôt. Vs tuez des gens à cause de votre incompétence et vous venez jouer au corporatiste.
Il faut que justice soit faite.
Je pense que ce soit disant directeur de l’hopital doit se taire et laisser la parole aux médecin et gynécologue. Une urgence ne se programme pas. Il faut une prise en charge immédiate. Si l’hopital n’a pas un plateau technique pour s’occuper du cas, la patiente ou le patient doit ètre acheminé vers une structure adéquate. Je lui pose une seule question: à quoi servira leur programmation alors que la femme est déjà morte?