Dr Abdourahmane Diouf a donné une leçon à certains opposants qui tentent de susciter un débat sur les trois premiers mois du nouveau régime dirigé par le président Diomaye Faye. Pour le ministre de l’Enseignement Supérieur, un tel débat est dénué de sens, qualifiant cela de « coquetterie politico-médiatique ».
« Il ne s’agit pas d’un bilan, encore moins de 100 jours. Ce débat n’a pas de sens, c’est ce que j’appelle une coquetterie politico-médiatique. Ce sont certaines personnes qui veulent en faire un débat. »
Le ministre a informé que le gouvernement est sur « la bonne voie ». Pendant ces trois mois, il a réalisé un diagnostic de la situation… « Depuis notre arrivée, nous sommes en train de résoudre les problèmes laissés par l’ancien régime… Une fois ces problèmes résolus, nous pourrons mettre en œuvre notre projet… »
À cette occasion, Abdourahmane Diouf a vivement critiqué ceux qui prétendent que le projet vanté par Ousmane Sonko n’existe pas. Ils sont de mauvaise foi…
Il a expliqué que le livre présenté par la coalition Diomaye et le parti Pastef au Sénégal est le projet concret. Selon lui, cela prouve que le projet existe, même si certains sont de mauvaise foi, ils peuvent le constater à travers le livre…
Ensuite, il a expliqué les raisons pour lesquelles le Premier ministre a avancé que le projet serait finalisé en septembre ou octobre. C’est parce que le projet, tel que présenté par la coalition Diomaye président et Pastef, doit être dépouillé de ses habits partisans et politiques pour revêtir des habits institutionnels (couleurs vert, jaune, rouge). Il ne peut pas être simplement adopté tel quel par l’État… C’est un processus administratif complet. Cela s’appelle une révision, la dimension institutionnelle du projet…
Voila un brillant intellectuel qui aime son pays .IL a tout simplement mis en avant son patriotisme et le développement du pays contrairement à BOUGANE qui attent toujours le deuxième tour
Thiéye Abdourahmane toi qui a été jeté aux gémonies par son sonko t es devenu son griot patentè qu elle honte pour nos intellectuels