La plateforme des organisations de la société civile pour la défense de l’éducation et les valeurs, qui regroupe des universitaires, des instituteurs et enseignants et autres éléments de la société civile sénégalaise, dénonce le climat qui prévaut en ce moment dans le secteur de l’éducation.
Réunis, au siège du Syndicat démocratique des enseignants libres du Sénégal (Sydels), à Dakar, les responsables de ladite organisation ont tenu une conférence de presse pour exprimer leur inquiétude sur les grèves des enseignants et des élèves, rapporte Lesoleil.
Le Secrétaire exécutif national, Bassirou Sy, a appelé l’Etat du Sénégal à ouvrir des négociations pour un «traitement juste et correcte» des revendications restées en suspens depuis les accords signés en 2014. M. Sy a demandé également au gouvernement de rendre justice aux enseignants qui, à diplôme ou grade égal, par rapport à d’autres agents de même rang, seraient mal rémunérés.
Aussi, les responsables de la plateforme ont attiré l’attention des enseignants sur les conséquences néfastes des arrêts de cours sur le quantum horaire. Ils ont profité de l’occasion pour demander aux enseignants de ne jamais perdre de vue l’intérêt des apprenants dans ce bras de fer avec l’Etat. À leur avis, le respect du quantum horaire est tout aussi légitime comme le sont aussi les revendications des enseignants.
de l autre côté des militaires se battent avec des revenus moyennes
soyons sérieux il faut couper les salaires car les gens en ont marre de leur chantage avec un niveau scolaire très bas