Arrivé peu avant 14h00 au siège du Tribunal arbitral du Sport (TAS), ce Mardi à Lausanne, Michel Platini a dit quelques mots aux médias sur place. «Je ne dirai rien de plus que ce que je vous ai déjà dit : je dirai la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, je le jure», a promis le président de l’UEFA, accompagné de ses conseillers, l’avocat Thibaud d’Alès et le juriste Thomas Clay.
Détendu et souriant, l’ancien meneur des Bleus suspendu jusqu’au 5 janvier par le comité de l’éthique de la FIFA espère obtenir la levée de cette sanction d’ici la fin de semaine, pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle de la Fédération internationale (FIFA). Il lui est reproché d’avoir perçu un versement suspect de 1,8 million d’euros en 2011 de la part de Sepp Blatter.
Avec AFP