Selon le Pop du week end, trois organisations (de défense des homos?) que sont Aides, Adama et Sourires de femmes estiment que «les 7 homos de Guédiawaye jugés hier vendredi, n’ont pas été surpris en flagrant délit d’actes contre nature. Aucune preuve n’atteste que ces 7 personnes ont commis des actes contre nature. Le jugement du Procureur s’est basé exclusivement sur le préservatif usagé qualifié ‘d’entamé’ sur le procès verbal utilisé lors de l’instruction». Selon ces organisations, «l’utilisation du préservatif comme preuve inquiète les associations de réponse au Vih et la société civile».
Elles soutiennent que «le verdict prononcé vendredi 21 août 2015, sans flagrant délit, risque d’inciter les groupes vulnérables face au Vih Sida à éviter de se procurer, de posséder et d’utiliser le préservatif pour que ce dernier ne serve pas de preuve lors d’une éventuelle arrestation.
Or le préservatif est l’un des outils de prévention ayant permis au Sénégal de stabiliser l’épidémie tant dans la population générale que dans les groupes les plus vulnérables face au Vih Sida». C’est pourquoi elles pensent que l’Etat doit «éviter de persécuter les groupes vulnérables face au Vih Sida ; éviter de transformer le préservatif, outil de protection, en pièce à conviction». Elles pensent que l’Etat doit «garantir à tous les groupes de la population une égalité parfaite dans le cadre des procédures judicaires».
Haro sur ces organisations qui prônent l'homosexualité. Eles ne seront jamais à l'aise au Sénégal.
Ne nous tympaniser pas avec vos foutue association de PD ligeen beug doufi am moukk domou kharamee
Gnom ak association yi lagnou warone bolé tal bagnou daum .
Domou khatj .