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"Communauté Mancagne" - Les Répliques de Alioune Tine et Birahim Seck à Abdou Karim Fofana

Dans le contexte politique sénégalais actuellement tendu, une situation préoccupante se dessine à l’approche des élections présidentielles de 2024. Le ministre et porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana, dénonce des propos attribués à Ousmane Sonko, qu’il accuse de menacer l’unité nationale. Deux figures de la société civile, Alioune Tine de Afrikajom Center et Birahim Seck du Forum civil, sont impliquées dans cet échange complexe.

Le ministre Fofana a utilisé Twitter pour interpeller la société civile sur ce qu’il considère comme un danger : “Les propos de Ousmane Sonko sur la communauté mancagne montrent à suffisance son incapacité à être un facteur d’unité nationale. Et comme d’habitude, la société civile sélective sur ses combats, est aux abonnés absents sur ce sujet d’intérêt national”, a-t-il déclaré dans son tweet, mettant en cause spécifiquement Alioune Tine et Birahim Seck.

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Les réponses de ces derniers ne se sont pas fait attendre. Alioune Tine a été le premier à réagir, mettant en garde contre l’instrumentalisation des communautés : “Les communautés linguistiques, culturelles et religieuses n’ont pas de problèmes et ont créé des mécanismes pacifiques de régulation des conflits. Il faut éviter de les instrumentaliser, c’est ça qui brûle le continent. Éviter de détruire aussi les ponts et les points de passage.”

Birahim Seck, à son tour, a répliqué en dénonçant un manquement aux règles d’installation des commerces au Sénégal : “Monsieur e à l’approche des élections présidentielles de 2024. Le ministre et porte-parole du gouvernement, Abdou Karim Fofana, le facteur d’unité nationale à promouvoir est d’aider le Président Macky Sall à honorer sa parole et à respecter la Constitution. Déjà, vous ne maîtrisez pas l’installation des Commerces dans votre secteur (China Mall) et vous venez nous parler de responsabilité.”

Ces échanges illustrant la tension croissante entre ces trois personnalités révèlent la situation inquiétante qui prévaut au Sénégal. La dynamique électorale est clairement marquée par des dissensions et des confrontations verbales, et aucun des acteurs concernés ne semble à même de prédire l’avenir du pays dans ce climat de tension palpable.

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7 commentaires

  1. Waly DIOUF

    Si le Sénégal avait des dirigeants comme BIRAHIM SECK ,ALIOUNE TINE ET LE PRÉSIDENT OUSMANE SONKO , Notre Sénégal sera comme Doubaï. Qu’Alla nous assisten pour que ça se réalise AMINE YARABI.


  2. Sow

    Birahim seck t es ridicule on parle d un sujet sérieux et tu parles de commerce c est ce qui montre vos idiotes vous et Alioune tine le pyromane.


  3. Gamou

    Birahim Seck est complètement hors sujet. Il en fait un problème personnel et a déplacé le curseur sur le commerce. Angleterre ou pomme de terre ? Belle manière de se soustraire du dilemme


  4. Lahlalo

    Quand on parle de société civile au Sénégal Alioune Tine et Birahime Seck sont exclus d’office. Il n’ent font plus partie. Tous les 2 sont politiciens et opposants vue toutes leurs positions sur les sujets d’actualité. Ils sont tjs du côté de l’opposition qq soit la situation.


  5. Aladji

    Vous criez à l’ethnie là où il est indexé la proximité dans une famille, et/ou dans un ministère. Vous faites hors-sujet pour dénigrer vainement !


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