Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, préside ce matin la cérémonie d’ouverture des concertations nationales, prévues du 28 mai au 4 juin. Ce rendez-vous, qui rassemble les forces vives de la Nation, pourrait insuffler un nouvel élan au paysage politique sénégalais.
Lancé ce mercredi 28 mai, le dialogue politique sur le système électoral et institutionnel s’annonce comme une étape importante dans la redéfinition de la vie politique au Sénégal. Après trois alternances démocratiques pacifiques au sommet de l’État (2000, 2012 et 2024), cette rencontre vise à engager des discussions approfondies sur les réformes à apporter, notamment au code électoral.
Dans ses dernières interventions, le chef de l’État a insisté sur l’urgence de « repenser collectivement l’architecture institutionnelle et électorale du Sénégal ». Il a également appelé à une large participation des différentes composantes de la société à ce processus, désormais inscrit dans le calendrier républicain.
On peut certe traquer les délinquants financiers mais retenez bien cette citation de Nelson Mandela :
L’esprit de représailles et de revanche détruit les États .
L’esprit de tolérance et de grâce construit les États
C’est bien de dialoguer pour cohésion et la paix sociale. Dialoguer pour le respect des institutions. Pour l’état de droit et la bonne gouvernance. Dialoguer pour le développement économique du pays. Pour redorer le tissu économique du pays. II faut réinventer la roue pour faire la politique autrement. Servir ou non se servir. Le Sénégal a beaucoup de potentiels dans tous les domaines. Nous avons de l’eau du solei toute l’année et les et avec les énergies extractives. Nous avons tous les atouts ce qui nous manque c’est la volonté. Le Sénégal est facile à développer il nous suffit d’éthique. Que ce dialogue soit un moteur de sorte de toutes les crises et maux qui gangrènent la société sénégalaise.
Ceux qui aime le senegal sont presents