Mamadou Oumar Ndiaye, journaliste reconnu, a été officiellement installé ce mardi en tant que président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), succédant à Babacar Diagne. La cérémonie de passation s’est déroulée à Dakar, marquant un changement important pour cet organisme régulateur des médias audiovisuels au Sénégal.
Lors de son discours d’entrée en fonction, Ndiaye a souligné son engagement pour une régulation basée sur la prévention et l’éducation, plutôt que sur la répression. Il a déclaré : « Je ne veux pas être un gendarme de l’audiovisuel. Mon rôle sera d’encourager le dialogue et la compréhension avant toute intervention coercitive. »
Il a précisé que les sanctions devraient être considérées en dernier lieu, après avoir épuisé toutes les autres méthodes de résolution des conflits. Sa démarche vise à renforcer la responsabilité des professionnels de l’audiovisuel tout en protégeant la liberté de la presse. Il a ajouté que maintenir l’équilibre entre liberté et responsabilité est essentiel pour un environnement médiatique sain.
Babacar Diagne, en quittant ses fonctions, a exprimé sa satisfaction quant à son successeur, affirmant : « Je ne pouvais espérer mieux comme successeur. Mamadou Oumar Ndiaye est l’homme idéal pour diriger cet organe à ce moment. »
Diagne a rappelé que le rôle crucial du CNRA est de garantir la liberté de presse tout en s’assurant du respect des responsabilités professionnelles des acteurs médiatiques. Après une carrière dans le journalisme et différents postes diplomatiques, Babacar Diagne quitte la présidence de cette institution.
Thiéye MON la honte de la république qui l’ eu cru ce grand monsieur devenu larbin du gourou de la république
Bon vent Babacar Diagne !
Vous vous êtes rempli les poches au lieu de servir le Sénégal qui vous a tout donné.
C’était votre rôle de faire respecter la loi en forçant la RTS à envoyer une équipe en prison pour filmer le temps d’antenne de Diomaye.
Vous avez raté, minable, votre chance de rentrer dans l’histoire du Sénégal.
Malheureusement, comme un minable, vous avez préféré servir un tyran.
Larbin de sonko
Tout comme l’autre était larbin de ton macky le déchu ! Vous voyez Dieu existe et la roue tourne chacun son tour !