Blocage de l’Assemblée : Avec l’article 52, Macky peut déclencher ses pouvoirs exceptionnels
Abdourahmane Diouf met en garde les députés de l’opposition contre toute paralysie de l’Assemblée nationale. Le leader de Awalé craint que le Chef de l’Etat déclenche ses pouvoirs exceptionnels en vertu de l’article 52 de la Constitution.
En effet, selon l’article 52 de la constitution : « Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité du territoire national ou l’exécution des engagements internationaux sont
menacées d’une manière grave et immédiate, et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ou des institutions est interrompu, le Président de la République dispose de pouvoirs exceptionnels.
Il peut, après en avoir informé la Nation par un message, prendre toute mesure tendant à rétablir le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et des institutions et à assurer la sauvegarde de la Nation ».
Et d’après Abdourahmane Diouf, qui s’exprimait sur BuurNews, le Chef de l’Etat n’a pas du tout digéré la composition de l’Assemblée où il a perdu la majorité absolue. Ainsi, il peut prendre comme prétexte, les incidents survenus lors de cette 14è législature, invoquer un blocage, et déclencher ses pouvoirs exceptionnels.
Et en pareil cas, même si l’Assemblée nationale ne peut être dissoute après les deux ans qui suivent son installation, le Chef d’ Etat, avec le déclenchement de l’article 52, va s’accaparer des pouvoirs du domaine législatif dans le vote des lois.
Interpretation troppo facile
Meme si le president m’appel je vais courir pour entre dans le gouvernement …Salaw doo guourou abdourahmane..leche c***
Nul n’est au dessus de la constitution. Je te renvoie au principe inaliénable de la séparation des pouvoirs. Que Dieu ait pitié du Sénégal
C’est vraiment bien de connaître le droit constitutionnel en profondeur, des prérogatives du chef de l’État dans un régime de type présidentiel et des pouvoirs faramineux que la Constitution accorde à Macky, avant de l’ouvrir. A cogiter!!
Nul n’est au dessus de la constitution. Je te renvoie au principe inaliénable de la séparation des pouvoirs. Que Dieu ait pitié du Sénégal
Abdourahmane DIOUF a raison. Dans un régime présidentiel, le chef de l’état dispose de toute les prérogatives pour diriger le pays sans dissoudre l’assemblée nationale.
La France dispose de l’article 49.3 qui a été utilisé quelques fois par le gouvernement quand un projet de loi est bloqué par l’opposition.
C’est toute la puissance du régime présidentiel.
Un régime parlementaire est mauvais pour démocratie quand les acteurs ne sont pas des personnes matures, et passent tout leur temps à bander des muscles et à faire des calculs pour leur propre interêt.
tu es nul et complexe
Le Sénégal est un régime parlementaire
pardon les taupesdemacky sall ne nous amerdé pas oui si macky sall mappelpour integret le gouvernement pouffff
Ana Ameth Aidara, thieye yewou, ana Guy ana barth gnignoye yakarou EULEUKK mann titnna si mime rew.yi mbalitte,ta salter. des guignols,
Une démocratie majeure ne peut l accepter.Que Macky laisse l assemblée fonctionner C est lui qui est l origine de tout ça car il veut faire du forcing et ça on l acceptera pas
Opposition bi werenna dale, limoye exemple bitakh gnouye woutt am rew,du n’importe quoi, même le règlement de l’assemblée nationale ils ne le méprisent pas,quelle groupe de vernacle, incompétence général, c’est vraiment honteux et désolant.
Ce gars-là joue un jeu pas clair dans le landerneau politique. Il cherche à créer la confusion dans la tête de l’opposition pour la freiner.
Ass tu joues à koi en fin de compte ….
Diouf commence à troquer son manteau d’opposant à celui de défenseur du régime. Tout ce que vous manigancez sur le dos du peuple sera à votre défaveur. Nous avons tout compris A. Diouf.
Sonko rek.inchsllah!
Sonko nalerale affairou thiorome bi Adji sarr baparer denga
Maylengnou diame bougnoula wowonn dowakh tousse, ses pilitichiens la, ngoure rekk ngenn gueume ak senn bopp, KOUSSI SOLE VESTE CRAVATOU,TAKK AYE LUNETTE MELNET GOLO FOKNET MANNGA YOR AM REW. WALAYE LES JALOUX VONT MOURIR, GUEUMELENN YALLA,
monsieur bientot tu seras nomme COSÌ tu prendras ta PART
Ce gars veut être appelé et nommé par Macky Sall ?
Macky vous fait peur. Sérieux il n’y a personne qui peut remplacer le président dans la coalition des opposants. Vous faitesque parler et saboter le travail des gens mais on ne laissera rien se passer mauvais cette fois ci
TOI AU MOINS TU CONNAIS LA « MARCHE » D UN ETAT RÉPUBLICAIN CONTRAIREMENT AUX APPRENTIS DÉPUTÉ QUI CROIENT QUE LEUR GESTICULATIONS ET VERBIAGES VONT LEUR SERVIR A GRAND CHOSE
Avec la réalité politique actuelle, il est totalement insensé de faire valoir certaines prérogatives; LA LÉGITIMITÉ A PLUS DE FORCE QUE LA LÉGALITÉ.
Il y a une nette différence entre la THÉORIE et la RÉALITÉ…
Abdourahmane Diouf tu mens. L dsul blocage de l A N ne donne pas droit au PRÉSIDENT de déclencher ces pouvoirs dont vous dites.
la constitution fait allusion à une menace venue de nos frontières ou de calamités troublant le fonctionnement normal des institutions et non d une seule institution.
Aussi notre constitution ne contient aucune disposition comme n France permettant au PRÉSIDENT de la République de contourner le vote à l hémicycle.
Quoiqu’il en soit tant qu ils ne respecterait pas les lois et règlements dans ce pays l A N stade toujours bloquée.
Je sais que Sonko vous a habitue a un regime totalitaire, mais Macky est un homme qui respecte la democratie dans ce pays.
La seule chance de l’opposition c’est d’essayer a effrayer le peuple pour destabiliser le pays et gagner des elections a base de mensonges et manipulations.
Ne croyez pas tout ce que vous lisez dans ces articles, Macky est la pour defendre nos interets avant tout.
C’est devenu une habitude avec cette opposition, ils critiquent l’etat pour tout et pour rien et essayent de banaliser la desinformation.
Mr Diouf vous faites une mauvaise interprétation de l’article 52. L’utilisation de cette disposition n’est possible qu’en cas de menaces qui empëchent nos institutions de fonctionner normalement on
parex: guerre, attaques terroristes, invasion, calamité naturelle. Mais ce qui s’est passé à l’installation des députés ne peut être assimilé à une menace grave c’est une situation qui existe dans toutes les assemblées.
Le président n’a pas le pouvoir de faire ce qu’il veut en se réveillant un beau jour pour saccaparer du législatif,vraiment tu as traité ce sujet avec beaucoup de légèreté qu’on ne reconnaît à vos habitudes, c’est comme pour lui ouvrir une voie inédite et dictatoriale qui lui facilite davantage ses forfaitures, tu as franchement déçus