Pastef a tenu un point de presse, ce jeudi, sans Ousmane Sonko, empêché de quitter la cité Keur Gorgui.
Biram Souleye dénonce la violence exercée contre leur leader Ousmane Sonko. « On va plus accepter. Nous lançons un appel à tous les patriotes… », a-t-il déclaré, qualifiant l’interpellation de Pastef comme un « test de Macky sall et Antoine Diome »
Birame Soulèye Diop de dénoncer également l’interdiction qui a été faite à Sonko de venir présider leur point de presse. Pour lui, leur leader est désormais en résidence surveillée.
Regardez :
chaque jour même wakh bi wayé kouffi yeungueul niou niaff la
ces tous des bandits de grand chemin mais ils vont en découdre avec les vrais sénégalais, sachez bien que dans ce parti pastef, il ya des personnes étrangères qui s’y trouvent qui veulent déstabiliser notre pays,financés par des lobbys,et ONG extérieurs.
J’espère que vos pères, mères, femmes et enfants seront devant.
Aucun Sénégalais ne va mourir à la place de vos proches parents.
Les travailleurs en ont marre que leurs biens soient saccagés par des gens qui n’ont rien à faire que manifester en jours de travail.
Toutes ces ONG qui ne vivent que de troubles, attisent le feu pour s’ engraisser.
gni dagno yabater, wayet dinagne khamnet Sénégal gui dou pastef mofiye deff loukko nekhe.
WALAYE VOUS ALLEZ PÉTER DES PLOMBS TRÈS CHAUDS, N’OUBLIEZ PAS QUE NOUS TOUS NOUS SOMMES DES SÉNÉGALAIS BOULENN DOFFE,
ce ne sont que des bandits, des agresseurs, des casseurs ,des violeurs, ils savent que sonko a menti sur ce procès voilà pourquoi il a demandé à ses partisants de le suivre pour perturber le procès, mais dina wouyoudji môme.
bravo à nos forces de l’ordre, thiakaw thiakaname.
Doule waye momoulenn rewmi ,yarou lenn, laissez les sénégalais honnêtes allez vagues à leur occupation.
Fini la récréation. Deuk bi kouko beugue tale niou tale la. Merci aux forces de l’ordre. Merci au peuple sénégalais d’avoir tourné le dos à ces gens dangereux qui veulent sacrifier la jeunesse pour leurs intérêts personnels et semer le chaos dans le pays. Koussi dé yaye perte niou fatéla.