Belmadi exige le paiement total de ses indemnités, tension avec la FAF

L’ex-sélectionneur de l’Algérie, Djamel Belmadi, réclame le versement intégral de ses indemnités suite à la résiliation de son contrat. L’accord, qui court jusqu’au 1er août 2026, post-Coupe du monde, ne comporte pas de clause de licenciement, une ‘grosse erreur’ du bureau fédéral de l’époque présidé par Zefizef. La CAN 2023 a été abordée sans objectif défini par Belmadi, situation jugée anormale.

La Fédération Algérienne de Football (FAF) est confrontée à un défi majeur, avec Belmadi insistant pour obtenir la totalité de sa rémunération, s’élevant à 250.000 euros mensuels. Par conséquent, il est en droit de percevoir près de 8 millions d’euros nets jusqu’à la fin prévue de son engagement. Bien que légal, cet acte est perçu comme contraire à l’éthique, d’autant que Belmadi a souvent mentionné un ‘contrat moral’ avec son pays.

Le président de la FAF, Walid Sadi, fait face à un dilemme financier et éthique, surtout que les finances de la fédération sont en délicatesse. D’autres développements sont attendus dans cet épisode qui pourrait réserver des surprises.

1 COMMENTAIRE
  • Lapa

    Belmadi est Algérien. Il devait avoir une grandeur d’esprit en posant sur la table sa démission sans aucune contrepartie. Cela montrerait son sens du patriotisme. Gasquet l’entraîneur de la Côte d’Ivoire n’a pas attendu pour démissionner. Même si la FAF ne lui a pas fixé un objectif tout le monde s’était accordé pour voir au moins l’Algérie dans le dernier carré. En se comportant comme un entraîneur étranger et en refusant de démissionner Belmadi fait preuve d’un mauvais sens de patriotisme

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