Le peuple sénégalais a traversé des épreuves difficiles, offrant sueur et sang, et sacrifiant sa jeunesse. Ce sacrifice était à la hauteur des promesses de souveraineté, de responsabilité, de lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite, ainsi que de justice sociale et d’épanouissement économique, encapsulées dans un programme ambitieux surnommé « Projet », mené par un leader déterminé.
Les compradores, alliés des impérialistes, se sont dressés comme rempart, prêts à justifier un génocide contre le peuple sénégalais. L’omerta régnait, et seules les voix de panafricanistes et d’analystes engagés pour la justice parvenaient à percer le silence assourdissant et l’indifférence des États et des organisations censées défendre les droits humains.
Les massacres, tortures, arrestations illégales, détentions arbitraires, traitements inhumains, disparitions forcées et violations graves de la vie privée n’étaient pas des incidents isolés, mais étaient systématiquement couverts par une justice soumise et silencieuse. À l’international, un tribunal qui fondait beaucoup d’espoir choisissait de ne pas répondre a l’attente de toute l’Afrique, en totale contradiction avec les principes de justice et de protection des droits humains qui fondent sa raison d’être.
L’histoire retiendra la position constante de l’Union internationale parlementaire, qui a su se dissocier des comploteurs pour faire entendre une voix dissidente face à l’injustice.
Coincés et dos au mur, les coalisés ont tenté d’orienter la révolution sénégalaise vers une alternance prétendument démocratique. Pourtant, rien de démocratique ne se dessinait, car tous les moyens politiques, institutionnels, juridiques, humains et financiers mobilisés échouaient à contrer le Projet.
Il n’y a pas eu de troisième alternance au Sénégal, mais plutôt une révolution. Une classe opprimée s’est levée, guidée par une direction claire pour renverser le pouvoir en place. Au dernier moment, les compradores et leurs maîtres impérialistes ont opéré un repli stratégique, échappant à la violence en remplaçant leurs fusils et armes blanches par des cartes électorales qui ont eu le même impact à leur détriment, le soir du 24 mars 2024.
L’artifice démocratique a été utilisé pour éviter une chute violente du pouvoir. Le premier jalon après le renversement du régime était posé, mais restait à réaliser le deuxième jalon : l’exercice effectif du pouvoir avec le peuple, pour le peuple, et par le peuple, à travers les institutions, afin d’instaurer des transformations structurelles.
Aucune révolution ne peut réussir si l’ancien régime n’est pas détruit et ses vestiges nettoyés.
Le Sénégal semble avoir failli dès le commencement de cette nouvelle étape, en maintenant au sein de l’appareil d’État, notamment dans l’administration, la sécurité, le renseignement et la justice, des bras armés et des esprits du régime déchu.
Des individus qui, par leurs postures passées, avaient tout mis en œuvre pour écraser le mouvement révolutionnaire, ont pu conserver ou se sont vu attribuer des postes stratégiques qui auraient pu revenir à une jeunesse compétente, engagée et porteuse d’espoir encadrée par des patriotes, républicains ou nationalistes d’expérience.
Cette jeunesse réserve de talents, longtemps mobilisée et terreau de lendemains imprévisibles, commence à sombrer dans l’oubli et le désenchantement. Pourtant, elle est capable de porter et de remporter ce défi.
Du nouveau ne peut éclore dans la puanteur et l’odeur nauséabonde d’une eau usée.
La révolution ne doit épargner aucun secteur, aucune individualité. La lutte contre l’enrichissement illicite et le blanchiment de capitaux ne doit épargner aucun corps professionnel : avocats, notaires, magistrats, hommes politiques, fonctionnaires, hommes d’affaires…
L’État a également failli à porter un coup de frein net aux excès et dérives de certaines forces de défense et de sécurité. En laissant perdurer l’impunité, il a prolongé la souffrance des victimes pendant que leurs bourreaux sont épargnés. Rien ne saurait justifier que des individus, présumés coupables de haute trahison ou de crimes contre l’humanité, tardent à rendre compte devant la nation avec toutes les garanties de respect de leurs droits, alors même que les victimes, elles, commencent à sombrer dans le désespoir.
Il y a lieu de redouter que les procédures engagées soient entachées de vices, ouvrant la voie à ce que les vampires de l’économie se retrouvent simplement sous bracelet électronique, bénéficient de nullités de procédure, ou soient relaxés pour insuffisance de preuves.
Pire encore, ces personnes pourraient se retourner contre l’État, exiger la restitution des biens mal acquis placés en cautionnement, et réclamer des dommages et intérêts.
l’État semble avoir aussi manqué de vigilance face à certaines organisations, présentées comme issues de la « société civile », mais qui dissimulent en réalité des réseaux d’influence défendant des intérêts occultes.
En instrumentalisant des principes humanitaires qu’elles détournent de leur finalité, ces cellules dormantes contribuent à brouiller les repères et à fragiliser les fondements mêmes de la nation.
L’atteinte à la vie privée, à l’honneur et à la considération, les injures les plus abjectes, ainsi que la diffusion de fausses nouvelles susceptibles de troubler gravement le fonctionnement des institutions sont souvent considérées comme des opinions ou des expressions protégées. Pourtant, leur propre cadre juridique indique clairement que ces protections ne sont assurées que lorsque sont respectées « les droits ou la réputation d’autrui, la sécurité nationale, l’ordre public, la santé ou la moralité publique ».
Il est donc crucial d’engager une réévaluation approfondie pour initier des transformations structurelles durables au sein de l’administration et des grandes directions, afin de conjurer l’immobilisme qui paralyse l’action. Pour ce faire, il est impératif de débusquer et d » anéantir tous les lobbys qui se sont réinstallés et d’activer les services de renseignement et de traquer les profils internes et externe impliqués.
La menace persiste, et ceux qui s’opposent au changement n’ont pas désarmé. Dans cette optique, le tandem SONKO-DIOMAYE est une nécessité, une exigence et un devoir impérieux, pour réaliser l’idéal pour lequel le peuple a consenti de lourds sacrifices.
Ce qui unit le tandem est plus fort que ce que l’esprit peux imaginer et il y a le devoir de mémoire.
En ce moment décisif de l’histoire de l’Afrique, le peuple sénégalais et tous ceux qui portent l’espoir d’un renouveau panafricain sont solennellement appelés à s’unir, à faire front commun et à se rallier pleinement derrière le tandem plébiscité. C’est ensemble, dans l’unité renforcée et la vigilance partagée, que seront préservés et consolidés les acquis pour la réalisation dans une détermination inflexible, du grand dessein de transformation historique qui s’ouvre à notre Nation.
Ciré Clédor LY
Avocat et Citoyen
Totalement en phase avec vous car beaucoup de Sacrifices ont été consentis pour enclencher la révolution. Remettons les pendules à l’heure pour parachever cette révolution
Le peuple vpus a donne mandat pour nettoyer et il faut nettoyer. Changer le ministre de la justice et mettre un militant de Pastef. Changer la police et les services de renseignement. Ouvrer des enquetes. Commencer les arrestations en se basant sur les rapports de la cour des comptes, ofnac, centif. C’EST TROP LENT CA NE BOUGE PAS. VIVE SONKO.
Démocratie citée en exemple
Goloko
Me laissez nous au moin notre citée en exemple dans le monde entier
J’adhère pleinement à cette assertion. Il va de soi qu’aucune révolution ne peut réussir en s’appuyant sur les vestiges dun passé macabre incarné par un régime libéral destructeur et criminel à ces derniers instants sur notre chère Patrie. L’heure est même dépassée pour que les fossoyeurs de la Nation répondent de leurs crimes de toute sorte.
Que la Justice, la vraie se penche d’abord sur la fausse incarnée par des ripoux toujours en activité avant de se lancer à la poursuite des ennemis du Sénégal et qui, à un moment de notre histoire étaient sensés nous conduire au développement. Il ne peut y avoir de paix et de stabilité avec des gens qui l’ont menacé et qui demeurent au sein de l’appareil d’état. Extirpons les pour sécuriser définitivement notre Pays. Il y va de la survie de la Nation.
Vive le Sénégal
Vive le PASTEF
Vive Diomaye/Sonko
Mdr…..doff mome dou were….day tane rekkk
Daffa yekhe torop. Cest trop lent. DAFFA YEKH. IL FAUT RENVOYER LES 29000 AGENTS DANS L’ADMINISTRATION EMPLOYES SANS DIPLOMRS NI QUALIFICATION. IL FAUT JUGER TOUT LES GENS EPINGLES. LA JUSTICE EST LENTE. TROP LENTE. IL FAUT CONSTRUIRE DE NOUVELLES PRISONS. IL FAUT AUDITER LES BIENS DES MEMBRES DE L’ANCIEN REGIME ET LES CONFISQUER SILS NE PEUVENT PAS JUSTIFIER LEURS AVOIR. DAFFA YEKHE. DAFFA YEKHE. IL FAUT ACCELERER LES POURSUITES, LES EMPRISONNEMENT, LES LICENCIEMENTS. LES CONFISCATIONS DE BIEN MAL ACQUIS. IL FAUT AGIR. VIVE PASTEF ET VIVE SONKO.
Merci beaucoup Maître!
« Aucune révolution ne peut réussir si l’ancien régime n’est pas détruit et ses vestiges nettoyés »., Par vestiges, entendons tous ces polèmistes habitués à brouter dans les restes des deniers publics détournés, tous ces mal élus et repêchés, tous ces transhumants qui en sont à leur troisième tour de table. La trace des deniers bien disséminés peuvent nous mener au seuil de tous ces nouveaux « Défenseurs » de la démocratie plutôt des compagnons de cette meute d’insulteurs et renifleurs d’immondices sacrifiées dans les toilettes de l’Assemblée Nationale du temps de l’ancien régime, sacrifiées et échangées à son temps contre des primes, avantages et deuxième voiture de fonction.
Le soulèvement du peuples des sans-dents nous a débarrassé de ces « hommes D’état » à la recherche de stature internationale, de leur épouse surfant sur des fondations [humanitaires] en couverture de leurs sales besognes, de membre de leur famille confondant la pandémie à la foire aux bestioles et de leur grand garçon embaucheur de nervis …
Le peuple, la jeunesse, les femmes … vous ont désignés VOUS LES DEUX COMPAGNONS DE LA SIERRA MAESTRA pour débusquer et nous débarrasser de ces faux-lions de kankourang ne respectant ni votre rang ni la majorité des sénégalais qui vous ont placé devant cette grandiose responsabilité.
Ne doutez de rien, les sénégalais conscients savent trier la bonne graine de l’ivraie.
Merci Maître Ly voilà qui est clair
Je partage ta pensée maître et on ne peut pas plaire à tout le monde, on a voté pour la rupture.
Merci maître ton analyse pertinente fait vibrer les kulunas.
Quelle belle plume . Oui une révolution ne peut pas être douce
Tout à fait d’accord avec vous
On doit se ressaisir le monde est ailleurs notre pays à se que j’entends veut adhérer aux BRICS
FAUT t’il le faire Oui ou non c un débat
La géopolitique bouge toutes les grandes puissances rôdent en Afrique
Elles (Les grandes puissances) ne parlent plus de droit mais de régler qu’elles bafouent allègrement exemple Iran Gaza
Nous sommes dans les palabres de personnes Gadiaga Sow Diagne des boutons mal fait un mec qui pleure sur le plateau télé de Son frère
Ngagne Demba à la fin de l’émission il nous rappelle qu ‘on a nada de nos ressources
Au rendez vous des races ont se présentera les mains nues même cure dent est importé donc incapable de produire même un vélo
Le negre doit se taire astafourlah CHANTER
Un développement efficient qui constitue le but ultime recherché repose sur une vision large et macroéconomique. C’est la sagesse qui pose les fondations et c’est la force qui exécute.
La sagesse : le respect, l’écoute, le dialogue, base constructive, entente, pondération, diplomatie, savoir, savoir-être, ouverture d’esprit, flexibilité.
La force qui exécute :
– stabilité sociale et politique dans un cadre assaini et propice aux affaires
-La mise en place de réformes cohérentes
-Une transformation économique est structurelle adéquate : Une formation pour disposer d’une main d’œuvre qualifiée abondante et bon marché, tirer le meilleur de nos matières premières notamment par la création d’industries manufacturières de transformation sur place et exportatrices, investir dans les infrastructures, soutenir la croissance, investir dans la Recherche-développement innovatrice, l’agriculture les technologies de l’information, les télécommunications, l’énergie, l’éducation, la santé,
-Tirer meilleure partie de notre positionnement géographique, garantir la sécurité, promouvoir une politique favorable au développement économique dans un cadre apaisé et sécuritaire ouvert aux investissements
L’avocat du diable l’homme le plus malhonnête que j’ai jamais vu.
Je vois en ce texte, le message de la radio des milles collines de Kigali. La suite est connue.
Non
Arrêté de masquer votre incompétent échec total
Pourtant le pastef avait infiltré l’ancien régime pour espérer arriver au pouvoir. Franchement vous nous fatiguer avec un projet qui n’existe que de parole encore une fois aidés les sénégalais à sortir de la pauvreté et de la vie chère
Bien sur rein ne change pas avec dioumaye île est très feble il mérite pas être président
encore ils est trop têtu
Envoyé
L’avocat politicien Ciré,on vous met tout de suite en garde que le Sénégal n’appartient pas au régime de pastefb
Merci Me Ly. Diarama. Qu’Allah Vous preserve et Vous benisse
MERCI BCP ENCORE UNE FOIS CHER MAÎTRE, POUR L’ENSEMBLE DE TON OEUVRE, POUR CE PROJET…
MAIS SI QUELQU’UN PEUT M’EXPLIQUER CLAIREMENT ET SIMPLEMENT POURQUOI CES DYNAUSAURES ET RAPACES DU SYSTÈME SONT TOUJOURS MAINTENUS À LEURS STATIONS,CES MINABLES-LÀ!
NIAK DIOM.
TCHIIM,TCHIPIRI,BILA FAYDA!
MAIS LAISSONS MOUTON PISSER REK… inshaAlla!
TOUT A FAIT IL FAUT DECONSTRUIR POUR TOUT RECONSTRUIR.
Merci ciré cledor Ly le digne fils du Sénégal, les hommes dignes resteront toujours dignes.
Pour moi, c’est le dernier défi de Sonko, parce que justement le Systéme qu’il a combattu tire ses. Dernieres balles en s’installant dans ts kes organes de décision, Sonko ne doit jamais accepter de jeter l’eponge pour leur faire plaisir , il a endure bcp plus que ça… il faut nettoyer quelqu’en soit le prix
Et quoi encore on appelle maintenant à l’holaucauste et cela vient de la plume d’un homme de justice le Senegal va très mal
Merci le grand patriote. Le département de la justice devrait te revenir car tu as l’expérience et la probité nécessaire pour diriger ce secteur
Vous es un complice du révolutionnaire qui a échoué,,et maintenant fermer ta sale gueule serait mieux imbécile
Bravo il faut faire le ménage à vouloir ménager l’ane avec le chouu et la carotte le désordre s’installe et mine les fondements de cette révolution, l’alternance mot galvaudé est une substitution la révolution doit être totale organique un changement de mentalité une éducation positive le ver est dans le fruit il faut l’extraire
Maitre vous avez tt dit …
Tu fais partis des vestiges et donc tu dois aussi être nettoyé voyou
La nomination de certaines personnes jadis tres hostiles à la ligne politique du pastef a facilité l’infiltration pernicieuse de certains éléments du système dont la présence dans toutes les stations décisives de l’administration et plus particulièrement dans la justice risquent de plomber l’action gouvernementale et de mener ainsi à l’échec du projet sur.lequel la majorité fonde l’espoir de parvenir à une ‘émergence de nature à favoriser un mieux-être tant attendu
Bien argumenté. Pastef da woté rupture ndéké niémé woul rupture. Ils ont un complexe d’infériorité vis-à-vis des gens de l’APR qui ont saccagé les ibstitutions et les finances publiques.
Il suffit d’écouter la sortie de la DG du Fongip pour comprendre qu’il y a beaucoup de légèreté et un complexe.
Merci cher Maître.
Digne et honorable défenseur des CAUSES JUSTES!!!
DIADIEUFATI LY.
Bien dit
Merci maître
Ainsi que les aspirations du peuple Sénégalais
Vous avez mille fois raison maître ; que ALLAH protège le Sénégal car un retour en arrière n’est pas envisageable. RESPECT.
Merci maître
C’est simplement une alerte et un avertissement à l’idée que Diomaye puisse trahir Sonko et le pastef.
Wakhi dof ……malhonnêteté intellectuelle.
Je valide
Regarde moi se genre de truc vraiment décevant un vrai cochon 🐖
Cette réaction insolente de mes prédécesseurs montrent que l’analyse de Monsieur Cledor est approfondie et disséque la profondeur de cette situation où le contexte socio politique du Sénégal.
Ces hommes ou femmes qui se cachent derrière des pseudonymes ont su que leur plans ,leurs desseins mesquin sont dévoyés.Alors ,casser le tandem Diomaye _Sonko ou le duo au sommet est à casser pour mettre le Sénégal au KO
Mt Ciré cledor Ly est bon avocat. Sauf il fait ressortir son extrémisme au cours de son raisonnement.
Il doit avoir une vision ordonnée et une vision d’ensemble avec SAGESSE. Le pouvoir s’exerce par la Tête (avec sagesse).
L’extrémisme ne peut conduire qu’au REMORD wassalam.
Pastefiens, réveillez vous,ces gens n’ont pas de compétents ce sont des vendeurs d’illusions
Je suis for de notre avocat national. le courage, l ‘honnête vous caractérisent . Vous êtes rentré dans l’histoire par la grande porte.
Pastef n’a pas de fin, on gouvernera le sénégal comme le parti communiste chinois.
Les haineux, les aigris, les jaloux, il eat temps de prendre la retraite.
Il faut être bouda et non croyant pour réussir cela . N’oubliez pas que c’est ici que repose de saint Homme et de grands Hommes. Sonko dou yalla Pastef dou allhourane
Panique chez Pastef c’est le début de la fin vive le Sénégal
Au Sénégal yavais révolution mais une tentative d’insurrection vite métrisé la preuve les institutions sont debout on essaie de les détruire la révolution est râté
L’Avocat le plus malhonnête ke le Sénégal n’a jamais connu, c’est toi ki crier sur tout les toits ke Ousmane Sonko est gravement malade
La FIN approche bande de voyous, malade imaginaire d’hier. On se rappelle de tout petit mec.