La journée internationale des droits de la femme est célébrée ce dimanche 8 mars. A Dakar, l’Association des encadreurs des collectivités éducatives du Sénégal (Aeces) n’a pas dérogé à la règle. La député Marieme Soda Ndiaye est revenue sur la quintessence de l’événement ainsi que les acquis et le chemin qui reste à faire.
Depuis neuf ans, l’Association des encadreurs des collectivités éducatives du Sénégal organise des panels à l’occasion de chaque 8 mars. Selon Marème Soda Ndiaye, l’intérêt est de « revisiter » ce qui a été fait en termes de la lutte pour les droits des femmes. « Cela nous permettra aussi d’évaluer là où ça bute afin de mieux aller de l’avant« , a notamment déclaré ce membre de l’Aeces.
Acquis
Des avancées dans le cadre de la lutte pour les droits de la femme. Il y en a eu au Sénégal. Remontant le cours de l’histoire, Mme Ndiaye a rappelé la Constitution de 2001. Laquelle dit-elle, énonce clairement « la question des femmes, notamment l’équité salariale, l’accès à la terre« . Selon la député, il est question de voir comment renforcer les lois.
Forces de défense et de sécurité
La parlementaire a également apprécié l’entrée des femmes dans la gendarmerie et la police nationale. Le seul hic, souligne Marème Soda Ndiaye, reste à trouver comment consolider l’autonomisation des femmes. « Il y a des opportunités qui se présentent à l’image de la Délégation générale à l’Entrepreneuriat Rapide des Femmes et des Jeunes (
le o8 mars c’est une journées créer pour les africain pour les occupé une journée par L’ONU et plus fêté au Sénégal que partout dans le monde pendant 2 jour on parle que de ça ils pense que c’est une fête comme tabaski manqué juste les mouton en France on etend pas parler sauf a la télé vite vous feriez mieux de travailler pour sortir de vos de misère elle vie dans la misère une journée on soûl avec journée de la femme