Ousmane Faye se félicite de l’implication de la Khadaratoul Malickiya pour la belle victoire du Président Macky Sall et plaide pour une révision partielle et consensuelle de la Constitution.
Depuis la ville sainte de Tivaouane pour les besoins de la ziarra générale, le leader de Manko Wattu Sénégal (MWS) s’est vivement félicité de l’implication décisive et attestée de la Khadaratoul Malickiya pour la brillante victoire acquise par le chef de l’Etat lors de la présidentielle du 24 février dernier.
A cette occasion, Ousmane Faye a demandé à tous les citoyens du Sénégal de s’accorder sur une révision partielle de la Constitution afin de donner au peuple souverain les moyens de ses aspirations et de ne plus permettre à une certaine frange de la population, notamment des membres dits de la société civile, de décider pour eux.
La Khadaratoul Malickiya a grandement participé à la belle victoire obtenue par le chef de l’Etat à l’élection présidentielle. Selon Ousmane Faye, « il faut se féliciter de l’implication de la famille de Seydi El Hadji Malick Sy pour la brillante prouesse électorale acquise par le Président Macky Sall. C’était une manière pour Tivaouane et ailleurs de rendre l’ascenseur au premier des sénégalais pour les importants efforts fournis dans le cadre de la modernisation de la cité religieuse et de la mise en œuvre des programmes sociaux, notamment la CMU, les bourses de sécurité familiale, etc. Par conséquent, je demande aux autorités religieuses de Tivaouane de prier davantage pour le chef de l’Etat afin qu’il réussisse son mandat, et que le quinquennat qui démarre le 2 avril prochain soit une bénédiction pour le peuple sénégalais, avec la réalisation de tous les vœux de succès, de réussite et satisfaction des besoins des compatriotes ».
Par ailleurs, le leader de MWS se dresse contre des responsables de la société civile qui influent, d’une manière ou d’une autre, sur les textes de la Constitution.
« Voilà des gens qui ne représentent absolument rien du tout dans ce pays et pourtant, ils s’arrogent des droits d’intervenir dans la modification de la Charte fondamentale de ce pays. Il faut qu’ils arrêtent d’imposer leur point de vue, et j’interpelle le peuple tout entier pour qu’il exige une révision partielle et consensuelle de la Constitution. Une démocratie, c’est par essence, la voie du grand nombre. Si le peuple s’accorde et décide d’une chose, elle doit être irréversible. Il faut que ce peuple prenne son courage et sa détermination pour imposer ses aspirations, c’est ça une démocratie. »