« Il est impératif que nos politiques se retrouvent autour d’une table de discussion pour décider de l’avenir de notre pays » a déclaré Zahra Iyane Thiam dans les colonnes du journal « Le Témoin ». Selon elle, la manière dont le dialogue est lancé ne permet pas d’aboutir à un consensus entre le pouvoir et l’opposition.
L’opposition et le pouvoir n’arrivent toujours pas à accorder leurs violons en ce qui concerne le dialogue politique. Même si d’aucuns avouent percevoir une lueur d’espoir avec la nomination de Seydou Nourou Ba, à la tête du comité de concertation du processus électoral. Zahra Iyane Thiame s’est prononcé sur la question et dit ne plus vouloir entendre parler de boycott dans la sphère politique. Son souhait, « dans l’intérêt de notre pays« , voir opposition et pouvoir s’entendre une bonne fois pour toute.
« Le devoir et l’obligation nous imposent de définir, collectivement, des règles de conduite à même de garantir le renforcement d’une démocratie évoluée, dynamique, moderne et acceptée par tous« , précise l’apériste qui demande aux acteurs politiques de rompre d’avec « les animosités » qui, de son avis, « ne servent en rien au peuple sénégalais« . « S’il vous plaît, n’oublions pas que le seul arbitre qui vaille, c’est le peuple souverain qui nous écoute, nous entend et nous regarde« , rappelle-t-elle.
Je vous soutiens totalement Mme.
Nous n’avons pas de temps à perdre avec des alliances qui se font et se défont en fonction de la situation de l’heure ou même de la minute.
Il apparaît nettement que c’est le peuple qui est valsé à droite puis à gauche.
Prenons nos responsabilités et disons non à cette cacophonie qui ne dit pas son nom.
Zahra dixit: « Il est impératif que nos politiques se retrouvent autour d’une table de discussion pour décider de l’avenir de notre pays »… Mais ceux dont vous parlez, ce ne sont pas des Politiques ! Ce sont des Politiciens et non des Politiques. La nuance est grande, comme yaala ak yaali en langage de Kocc Barma. Pire, ces politiens là n’ont qu’une et une seule ambition, se positionner ou prendre le « Pouvoir » pour participer ou organiser les orgies festives de dépradation de nos ressources financières et naturelles ! Ce sont tous des voleurs de deniers publics, et que si par un fait de révolution on les fusillait tous le Pays ne pourrait que se sentir mieux !