Woyofal, révision des tarifs : lettre ouverte au PCA de la Senelec

Des consommateurs sénégalais ont adressé une lettre ouverte au Président du Conseil d’Administration de la Senelec pour dénoncer les pratiques qu’ils jugent abusives, notamment l’imposition du système prépayé Woyofal, les pannes répétitives et la hausse injustifiée des factures d’électricité. Ils réclament un audit des pratiques, le retour des compteurs postpayés et une révision à la baisse des tarifs.

Monsieur et Madame Ndiaye, résidents à Ouest Foire, ont adressé une lettre ouverte au Président du Conseil d’Administration (PCA) de la Senelec, dénonçant ce qu’ils considèrent comme des pratiques abusives et de la spoliation. Selon eux, l’imposition du système prépayé Woyofal, les pannes récurrentes et la hausse injustifiée des factures sont au cœur de leurs préoccupations.

Ils expliquent que le passage des compteurs postpayés aux compteurs prépayés a entraîné une augmentation significative de leurs charges, contrairement aux promesses de réduction de coûts. Les Ndiaye soulignent également une différence de consommation entre les anciens et les nouveaux compteurs Woyofal, qui accentue selon eux le problème.

Dans leur lettre, ils demandent notamment :

  • Le rétablissement des compteurs postpayés pour ceux qui le souhaitent ;
  • Un audit indépendant des pratiques de la Senelec ;
  • La révision à la baisse des tarifs ;
  • La liberté de choix entre prépayé et postpayé.

Pour les auteurs, ces pratiques ajoutent un fardeau supplémentaire aux ménages, déjà confrontés à la hausse du coût de la vie.

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Un commentaire

  1. Fenstef est resté sourd à toutes les interpellations. Mensonges après mensonges ce matraquage financier sur nos maigres moyens continue. Diomaye et Sonko devraient avoir un spécial 72 heures de remontage de bretelles. Ils savent bel et bien ce qui se passe à la Senelec. Fenstef a vraiment déçu. Pas de reddition des comptes, à la place on a droit à un cinéma où tout le monde comme par magie judiciaire rentre chez lui tranquillement pour continuer à manger ce qu’il a volé. Quand on ouvre la bouche pour se plaindre on reçoit un mandat de dépôt. La vie est vraiment drôle.

    Il faut organiser une journée sans électricité pour que ces deux gougnafiers viennent nous dire ce qui se passe réellement dans cette boîte mafieuse.


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