Vidéo: Les graves révélations du Pr Celestino Rodrigues Pereira sur la vaccination contre le virus Vph lancé par Macky Sall
Le cancer du col de l’utérus et le cancer du sein continuent de faire des ravages en Afrique Subsaharienne.Tout récemment, le Président de la République Macky Sall, à la 5ème conférence de la Fondation Merck qui a regroupé 57 pays et 500 participants a procédé au lancement de la vaccination contre le Virus papillome humain (Vph), responsable du cancer du col de l’utérus, le premier cancer gynécologique au Sénégal.
Dans les prochains jours, il sera procédé à la vaccination de près de 95 mille jeunes filles âgées de 9 ans. Deux doses leur seront administrées dans un intervalle de 6 mois pour qu’elles soient complètement immunisées contre cette pathologie. Une décision majeure dans la lutte contre le cancer du col, coïncidant avec la fin d’«Octobre rose», la campagne de lutte contre les cancers féminins.
Le professeur Celestino Rodrigues Pereira, premier africain à intégrer le cercle fermé des 40 cytologues du monde avait fait savoir qu’en Afrique subsaharienne, un million de nouveaux cas et 600.000 décès sont notés chaque année.
Le spécialiste reste convaincu que le développement du cancer du col de l’utérus est devenu un problème de santé publique. A cet effet, il avait recommandé d’adopter des mesures préventives, à travers un dépistage systématique des femmes.
Cependant, ce programme de vaccination lancé par le Président Macky Sall n’émeut pas le spécialiste qui y décèle des failles qui pourraient porter atteintes à la santé des jeunes filles, surtout sur leur système de reproduction. Dans son entretien avec Françoise Hélène Gaye, le professeur ne manque pas de citer les dangers auxquels les filles dépistées peuvent encourir.
Les colorants, les cubes magie et les bouillons, le professeur Preira sonne l’alerte pour se prévenir du cancer.
Avec: Direct Facebook Françoise Hélène Gaye, Le Quotidien, Pressafrik
Tous les mêmes, ces judéo-chrétiens cherchent à éliminer le max de noirs comme le veut macron de la france et comme l’a appliqué l’état sioniste d’israel qui a stérilisé en masse des femmes noires falasha pourtant juives comme eux.
Si l’on rapproche les allégations de ces médecins et association à la vidéo sur Internet montrant Bill Gate affirmer que la population mondiale est de près 7 milliards d’individus et qu’il faudrait la réduire à 500 millions et que pour cela ILS ont entre autres solutions les vaccins. Je dirais que OUI il y a de quoi s’inquiéter et une enquête sérieuse par un organisme indépendant serait la bien venue et vivement conseillée.
humm bakhna senegal loulèn toubab yi diokh rek guèn dieul
toubab bakhoul ci keur bakhoul ci aleu
je parle en conaissance de cause
Stérilisation de masse au Kenya et en Inde sous couvert de vaccination.
En quelques semaines, deux affaires de stérilisations massives présumées ont jeté un éclairage cru sur ces pratiques méconnues.
En Inde, une campagne initiée par le gouvernement et encouragée par une indemnisation a causé treize décès. Au Kenya, les médecins catholiques dénoncent la présence d’un agent qui rendrait stérile dans les vaccins contre le tétanos. Mais les autorités démentent.
Campagne meurtrière en Inde
Le 8 novembre, une campagne de stérilisation de masse a tourné au drame dans l’État de Chhattisgarh dans le centre-est de l’Inde. 80 femmes ont été stérilisées – par voie laparoscopique – en moins de cinq heures. Peu après l’opération, plusieurs d’entre elles ont commencé à se sentir faibles et à être prises de vomissements.
13 femmes sont décédées des suites de leur stérilisation, 14 sont toujours hospitalisées dans un état critique. Le docteur en charge des opérations, R.K. Gupta, a été arrêté le 12 novembre et a été présenté devant un tribunal. Le 14 novembre, le patron d’une société pharmaceutique et son fils, soupçonnés d’avoir voulu détruire des preuves après l’opération de stérilisation de masse ont aussi été arrêtés. Les enquêteurs s’intéressent à la qualité des médicaments administrés.
En Inde, les campagnes de stérilisation représentent la forme première de contraception, bien loin devant la vasectomie (stérilisation des hommes) ou les campagnes de prévention. Elle est d’ailleurs fortement encouragée par le gouvernement qui indemnise les femmes volontaires, en l’occurrence les victimes devaient recevoir 1 400 roupies soit une vingtaine d’euros. En 2012, la stérilisation représente 70% des cas de contraception dans le pays, selon les chiffres du Monde.
Kenya : des vaccins visés par des médecins catholiques
L’affaire qui agite le Kenya est bien moins claire que le scandale indien. Mais il touche aussi à la question de la stérilisation. Début octobre, le gouvernement kenyan lançait une nouvelle campagne de vaccination contre le tétanos, notamment pour les populations les plus reculées. Le tétanos néo-natal, encore important au Kenya, est l’une des priorités du gouvernement. Mais depuis novembre, cette campagne de vaccination est vivement critiquée par l’association des médecins catholiques kenyans.
Dans une lettre publiée le 4 novembre, les médecins catholiques dénoncent la présence d’HCG (hormone chorionique gonadotrope) dans les vaccins anti-tétanos, une hormone qui, selon eux, rend les femmes stériles. L’association, représentée par le docteur Wahome Ngare, justifie cette thèse en s’appuyant sur les tests effectués sur les vaccins : les six échantillons du vaccin – administrés depuis mars sur une une grande partie de la population par l’ONU – contiendraient tous l’antigène HCG.
De plus, le docteur kenyan accuse l’Unicef et l’ONU d’avoir déjà exercé des campagnes anti-tétanos tout en injectant ces mêmes hormones de grossesse dans d’autres pays (Philippines, Nicaragua, Mexique). Ce qui, par la suite, aurait été avéré, toujours selon les dires du médecin.
Depuis le début de la polémique, le gouvernement nie toutes les accusations faites par l’association et dénonce l’opération. Le ministre de la Santé, James Macharia, a déclaré à la BBC : « Je recommanderais ce vaccin à ma propre femme, à ma fille, je l’accepte à 100% et suis sûr qu’il n’a aucun effet indésirable ». Les autorités sanitaires ont néanmoins diligenté une enquête indépendante pour faire la lumière sur la composition du vaccin.
http://abnormalreport.canalblog.com/archives/2017/11/30/35916031.html
je pense que nos gouverants doivent etre vigilents, ces programmes venant de l’etranger veulent aussi steriliser nos filles, pour freiner la croissance demographique de l’Afrique. Pour quoi y’a pas cette campagne en occident.????