Femme nue, femme noire
Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté
J’ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux
Et voilà qu’au coeur de l’Eté et de Midi,
Je te découvre, Terre promise, du haut d’un haut col calciné
Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l’éclair d’un aigle
…
Ce joli poème de feu Léopold Sédar Senghor semble être l’illustration parfaite de cette femme, au « cœur d’or » chanté par le comédien Ibrahima Mbaye Sopé. Invité de Yama, à la Sen Tv, Ibrahima Mbaye Sopé, évoquant son statut de polygame, dit assumer son choix. « Tout ce dont j’ai besoin chez une femme, elle l’a. C’est mon ami, c’est ma confidente, c’est ma conseillère… » Très beau témoignage.
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