Qu’est-ce qui germe dans l’esprit des ministrables ? Et dans celui du maître de céans, le président de la République ? Bienvenue à la veille de la formation d’un gouvernement pour un deuxième mandat que l’on souhaite tranquille.
C’est la veillée d’arme, du moins de spiritualité ou de superstition pour ceux susceptibles d’être enrôlés dans l’attelage gouvernemental du Macky II. En pareilles circonstances, la tradition sénégalaise est de se faire faire des prières pour conjurer le mauvais sort.
Recourir à des marabouts n’étant pas interdit dans notre cosmogonie tropicale. Pas des oiseaux, mais des faiseurs de miracles qui, de nos jours, ont tellement bien compris, qu’ils sont devenus spécialistes de la communication publicitaire, vendant leur expertise sur les réseaux sociaux et autres médiums de communications.
Les sacrifices financiers qu’ils consentent pour accéder à ces moyens de com’ nous confortent dans la conviction qu’ils espèrent sonnants et trébuchants, les gains à acquérir.
Leur implication dans les transactions électives étant avérée, deux camps sollicitent leurs panacées : celui des ministres attendant reconduction et celui des ministrables espérant nomination.
S’il n’existe un troisième camp, celui du maître du jeu qui aimerait bien bénéficier de cet arsenal censé le blinder mystiquement pour ne pas bâcler ses choix.
Bienvenue dans le bois sacré. Qui mystifie qui ?
Sa veut dire que le dévoloppement du pays ne les intéresse pas ces imbe2ciles
Ces.maudites pratiques,n,existent que dans les pays africains …
Yallah rekkaye bourr moytoul sa serigne deffaral bagasse niou bagne la dieul nga sagga sa serigne
senego,svp faites beaucoup d’efforts.
Texte moins riche.
c’est une réalité au Sénégal
Dieu et unique croyais en lui lui seul pas aux charlatans svp sénégalais réveiller vous dieu à dit dans le coran alors pourquoi autre chose
Au lieu d’espérer sur unMarabout qui ne sait même pas lui même ce qu’il aura dans vie, il vaut mieux faire sa demande directement au bon dieu?
Yalla nopina kousi sa veurseuk nekk daci bokk diaroul yeneu kheureumyi