Tuerie dans la forêt de Borofaye (Casamance): l’effroyable récit d’un rescapé
Il a échappé belle à la mort, ce jeune homme qui s’est confié à la Rfm. il faisait partie du groupe de jeunes qui étaient partis chercher du bois dans la forêt de Borofaye (Arrondissement de Niaguis, Département de Ziguinchor). Ils ont fait l’objet d’une attaque armée d’une rare barbarie: 13 morts et 9 blessés. L’un des rescapés est revenu sur ce drame.
« Ils m’ont demandé mes papiers, mon téléphone portable, je l’ai donné et ils m’ont demandé de l’éteindre, ce que j’ai fait. Vers onze heures, ces hommes nous ont demandés de prendre chacun son vélo et ils nous ont demandés d’enlever nos chaussures. Ils nous ont fait couché en file et ont commencé à tirer des balles… Il y a eu plusieurs morts. Nous, les rescapés, nous sommes restés coucher jusqu’à leur départ, ensuite nous avons marché jusqu’à la route nationale… »
En ce qui concerne les mobiles de cette tuerie, le jeune homme avance: « ils nous ont expliqués comme quoi, on a eu un jour des bagarres avec eux et ils nous en voulaient. Ces hommes portaient des tenues. Ils étaient une trentaine. Vous voyez, ils m’ont blessé à la tête… » conclut-il.
Le gouvernement a sorti un communiqué pour condamner ce carnage « Le Président de la République a par ailleurs dépêché une délégation ministérielle qui
se rendra sur place dès demain, Dimanche 7 janvier 2018, pour évaluer la situation
sécuritaire et présenter en même temps les condoléances de la Nation aux familles » lit-on dans le communiqué.
éprouvées.
Inhumains c’est tous
Jill t’es un vrai batard fils de pute
Hill T’es un vrai batard
Règlement de compte inter-ethnique entre sauvages patentés.
Dans un pays avec des institutions fortes, le pressident doit se rendre dans les lieux des le lendemain afin de montrer la compassion du peuple et la ferme intention de traquer ces criminelles. Mais dépêcher une délégation ministrielle lundi en plus c’est manquer de considération et d’autorité. Wa sallam
Oci il faut élargir l’an quête même les forces sedeao il faut fouyer au profondeur
Il faut en ser clés les frontières d’abord dans tout les côtes
Tous des fous