Tirailleurs Sénégalais : Réconciliation Douloureuse Entre Histoire et Héritage
En 1944, un jour sombre dans l’histoire marqué par un massacre tragique des tirailleurs sénégalais. Ces soldats, qui se sont battus pour la France, réclamaient leurs pensions mais furent confrontés à une répression violente. Un épisode révélateur d’une série d’injustices subies par les soldats africains engagés parmi les tirailleurs sénégalais.
La tragédie du 1er décembre n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans un contexte de violences systémiques, un souvenir amer non seulement pour le Sénégal, mais pour toute l’Afrique de l’Ouest. Les soldats ne venaient pas seulement du Sénégal, mais aussi du Mali, du Niger et d’autres régions. Leurs efforts demeuraient souvent méconnus malgré leur bravoure.
Le colonialisme a gravé ses marques au-delà du champ de bataille, notamment par les actions de figures comme Faidherbe, connues pour leurs campagnes destructrices. Ces actes ont laissé une empreinte émotionnelle profonde sur la société sénégalaise en résonnant avec son héritage tragique.
Ce passé colonial influe encore aujourd’hui sur l’économie, avec le franc CFA comme symbole d’une emprise monétaire persistante. Le débat autour de cette monnaie et des bases militaires françaises au Sénégal souligne la nécessité cruciale d’une autonomie renforcée.
L’occasion du 80ème anniversaire offre un moment clé pour revisiter ces relations franco-africaines sous un angle de compréhension mutuelle et de respect. Chaque geste de reconnaissance, même tardif, ouvre une porte vers un dialogue sincère et une coopération moderne.
Ressusciter l’histoire des tirailleurs ne doit pas être une charge, mais une lumière pour réanimer un lien authentique entre les nations. La mémoire doit être un pont, non plus un mur, pour renouer des liens avec un regard neuf, intégrant les leçons et les aspirations des générations futures.
Reconnaître ce passé, c’est aussi envisager un dialogue réparateur et créatif, alliant mémoire historique et alliances égalitaires. En transformant les boulets du passé en espoir partagé, le Sénégal et les pays africains peuvent enfin redessiner un avenir digne et coopératif.
Combien la république laïcarde dite française a-t-elle donné d’argent aux gouvernements Senghor puis Diouf puis Wade puis Sall pour qu’ils ne lancent pas de mandats d’arrêt internationaux contre les Généraux qui ont commis ce crime contre l’humanité au Sénégal ?
Pourquoi le gouvernement Sonko refuse-t-il de réclamer des réparations économiques aux HERITIERS respectifs de tous les Généraux qui ont commis ce crime contre l’humanité au Sénégal ?
Pourquoi le gouvernement Sonko préfère-t-il racketer les con-tribu-ables français qui, dans leur écrasante majorité, ne sont pas responsables de ce crime ?
La Justice Gauchiste est l’injustice Chrétienne.