Le problème des numéros verts des services du ministère de la Santé refait surface. Dans notre émission matinale, ce mercredi, qui fait le bilan de l’avancée du coronavirus au Sénégal, un internaute fait des révélations un peu glaçantes.
Des symptômes du coronavirus et les numéros verts qui ne répondaient pas
En direct sur senego, Mame Thierno Ndiaye, révèle avoir, dans un passé récent, senti tous les symptômes du coronavirus et que ses multiples tentatives de joindre les deux numéros verts donnés par le ministère de la Santé sont restées vaines .
La méthode de Mame Thierno Ndiaye alors ?
Mais qu’a-t-il fait donc ? Thierno Ndiaye informera en direct sur senego avoir utilisé les feuilles de « Nime » pour soulager ses douleurs qui ont toutes disparu, aujourd’hui. Il ne manquera pas aussi de rappeler qu’il s’était mis en quarantaine pour préserver sa famille, car ne se sentant pas rassuré, surtout dans ce contexte de coronavirus.
Ecoutez !
En tout cas avec l indiscipline de certains,les mauvaises habitudes à bannir car accentuant la saleté….que nos plantes fassent des preuves constitue une grande aubaine ,surtout dant l avènement d un nouvel ordre mondial sur tous les plans surtout sanitaires.l Afrique se doit de se départir de ce confinement fait par ces firmes pharmaceutiques occidentales qui feront tout pour sauvegarder leurs intérêts sur notre dos.Cependant le monde a changé,nous avons nos compétences nous nous devons rek avec intelligence,de croire en nous mêmes. Et sur tous les plans.
Couvre feu + Ramadan + manque combinaisions + véhicules = pays bloqué
Mohamed Sarr, bonne analyse, surtout le 2ème point. Oui., le coronavirus risque de se répercuter sur la prise en charge d’autres pathologies tout aussi graves. On est dans un cercle vicieux.
Le risque sanitaire lié à l’infection au covid-19 est durablement installé. Les études épidémiologiques montrent que l’immunité de groupe est très loin d’être atteinte.
Le virus va donc continuer à circuler et le risque de rebond épidémique rester très important. Ce risque doit être maîtrisé afin de ne pas mettre en péril la capacité du système de soins, et en particulier les services de réanimation pour les cas les plus graves et ainsi à limiter le nombre de décès. Cela impose des mesures de distanciation sociale fortes et des politiques de dépistage des personnes symptomatiques et des contacts.
2ème Ce pendant le confinement modifie le recours aux soins des populations de nombreux constats (réduction dans certains établissements des passages aux urgences, augmentation de la sollicitation de SOS médecins pour constat de décès, réduction très forte de la fréquentation de certains services hospitaliers) inquiètent très fortement sur l’effet du confinement sur la santé des malades chroniques et aigus (AVC, infarctus, cancers,
insuffisance rénale, notamment)
A long terme, le confinement est maintenu sur une durée longue, le chômage de masse, les faillites, l’augmentation de la pauvreté auront un impact rapide sur l’état de santé des populations avec des effets multiplicateurs possibles sur elles voire sur la génération suivante.
Chaque année, une partie du PIB contribue à financer des dépenses de soins qui contribuent à sauver des vies ; les pertes de PIB, parce qu’elles se traduiront immanquablement par une diminution des
ressources pour le système de santé, sont donc aussi à terme des pertes de chances pour des générations futures de patients.
Mais les nivequine se fait en base de nime tu le fait bouillir cette tu te couvres d’une pagne pour absorber la fumee c’est tout
Notre seul problème s’appelle maky sall et son gouvernement qui jusqu’ici attendent le miracle venant de « paris la france »
Au senegal, en afrique il y a combien d’arbres qui eux tous ont des remédes particuliers?
C’est le madafascar et le benin qui travaillent pour se sauver. Le senegal fait quoi en ce moment?
Attendre le reméde promi de l’OMS, de la france de bill gattes ne nous amenera a nul part.
Thierno ndiaye que Dieu vous sauve, vous gueri.
ya meuneu doul combien de malades sont guéris
SI LE NIME MARCHE VRAIMENT ALORS NOUS N’AURONS PLUS BESOIN DE COMMANDER L’ARTHÉMISIA DE MADAGASCAR
ziare nalene megui italy dilene baguee