« Tenue immédiate Présidentielle, fin dissolution Pastef, libération… », Motion Parlement britannique

Au Parlement britannique, une motion a été déposée le 1er mars pour pousser leur gouvernement « à soutenir les appels à la tenue immédiate d’élections libres et justes au Sénégal » et pour la fin de la dissolution de Pastef et la libération des détenus politiques.
La motion relative à la Démocratie et droits de l’homme au Sénégal a été signée par 3 députés et n’a pas encore fait l’objet d’amendements. Le texte de la motion souligne le report des élections générales au Sénégal par le président Macky Sall, accompagné d’une répression violente des manifestations ultérieures par la police et la gendarmerie sénégalaises, avec des tactiques brutales et souvent mortelles.
La motion note également les appels en faveur d’élections libres et équitables immédiates, la suspension des partis politiques, la libération des membres des partis d’opposition actuellement détenus, la fin de la répression des médias, la fermeture d’Internet, l’arrestation et l’agression de journalistes, et appelle le gouvernement britannique à soutenir ces appels et à condamner toutes les mesures antidémocratiques et les violations des droits de l’homme au Sénégal.
Voici Le Texte de la Motion
Cette Assemblée note que le président du Sénégal, Macky Sall, a reporté les élections générales qui devaient avoir lieu en février 2024, ce qui s’est accompagné d’une répression violente des manifestations ultérieures par la police et la gendarmerie sénégalaises, qui ont été témoins de tactiques brutales et souvent mortelles ; note que quatre personnes sont mortes au cours des manifestations qui ont suivi l’annonce du report de l’élection présidentielle ; prend également acte des appels lancés par le président de la Commission de l’Union africaine et par le Département d’État américain en faveur du rétablissement urgent de l’élection et du rejet par le Conseil constitutionnel sénégalais de la décision de suspendre les élections, ce qui a conduit Macky Sall à accepter de reporter l’élection et de se retirer ; invite le gouvernement britannique à soutenir les appels en faveur d’élections libres et équitables immédiates et à demander la levée de la suspension des partis politiques, la libération des membres des partis d’opposition qui sont actuellement des prisonniers politiques, la fin de la répression des médias et la fermeture d’Internet, l’arrestation et l’agression de journalistes et à condamner toutes les mesures antidémocratiques et les violations des droits de l’homme.
REVENONS SUR TERRE ! Pourquoi le décret de convocation doit être effectuée au moins 80 jours avant le premier tour de l’élection (LO.137)? Quand le Conseil constitutionnel, en demandant le 15 février 2024 à Macky Sall de fixer la date de l’Election avant le 02 avril 2024, n’a pas appliqué l’article LO.137 car le délai pour organiser l’Election n’était que de 47 jours maximum (entre le le 15 février et le 02 avril, en ignorant le 25 février)? La Décision du CC étant au dessus du Code électoral, la « dérogation » du CC fate à Macky Sall ne peut pas être ignorée par le Dialogue national ! La seule contrainte c’est le délai minimal de 30 jours francs de la Constitution qui est applicable entre la date du décret et le jour du scrutin ! Ismaila Madior Fall et les conseillers du PR Macky Sall doivent respecter les 7 Sages, leurs Décisions ainsi que tous les constitutionnalistes et juristes de ce pays ! Les élections peuvent se faire en mars (au moins le 1er tour) ou avant la fin du mois de mai 2024 si le 1er tour avait lieu le dimanche 14 avril 2024 date qui respecte les 30 jours francs si le décret de Macky était signé le 11 mars courant ! Si ce décret était signé le jeudi 06 mars 2024 pour un 1er tour le 24 mars courant, la campagne électorale serait réduite à 16 (seize) jours pendant lesquels tout le matériel électoral pourrait être mis en place dans les régions (si ce n’est déjà fait) ! En cas de 2ème tour, la date serait le dimanche 14 avril et les résultats définitifs au plus tard vers 24 avril. Le Président ÉLU serait alors installé entre le 25 et le 30 avril 2024. La transition aura duré 30 jours au maximum: et ce serait une simple poursuite du processus électoral avec les 19 candidats « constitutionnels »! Et tous les problèmes sont réglés sauf que Macky Sall est incapable d’organiser des élections justes, transparentes et démocratiques de bout en bout ! Il voudra toujours contrôler les faits et gestes de la DGE, de la DAF, de la CENA, de la Justice (Cour d’Appel) et de l’Administration territoriale. Ce sera un problème de survie qu’il voudra forcer !
Les chefs des FDS et certains juges (un groupuscule de moins de 25 juges) sont les causes de nos problèmes.
X Les politiciens veulent toujours avoir toutes les personnes de leur côté.
X Il revient aux personnes responsables de refuser d’être utilisées comme des animaux.
Les FDS et certains ont accepté d’exécuter des ordres injustes contre les citoyens. Dès le début, ces personnes devaient refuser.
Vous êtes la honte du Sénégal, de l’Afrique.
Des policiers et gendarmes qui laissent des nervis dans leurs pour mater des manifestants.
Si, dès le début, vous aviez osé dire au président de cesser les dérives, nous n’aurions pas eu tous nos problèmes.
trop de brutalités inutiles des forces de defense, maintenir l ordre est un art
Pourquoi le Sénégal et lar Russie avec poutine
Parlez d’Israël qui est entrain d’exterminer les Gazaouis…un génocide sous silence de.la communauté internationale
Vous n’avez pas honte d’appeler à l’aide aux pays que vous détester de plus vraiment vous n’êtes pas des gens de confiance
Et bizarrement rien pour la Palestine la ou on enregistre plus de 30,000 avec la complicité de ce même gouvernement !!! Alors la je comprends plus rien.
Nous sommes maintenant la risée du monde
Tchimmmm…domoukharame Macky Salll yakhe na souniou rewe bi. Si cet individu n’est pas juge pour haute trahison ma kham ni Senegal dou deukkk.
« … ce qui s’est accompagné d’une répression violente des manifestations ultérieures par la police et la gendarmerie sénégalaises, qui ont été témoins de tactiques brutales et souvent mortelles… »
Ce bout n’honore pas la police et la gendarmerie « nationale » (ce qualificatif est de trop).
Honte totale bien bue.
Nous sommes, malheureusement, célèbres dans le mauvais sens.
Quand un homme politique dérape, beaucoup de politiciens le condamne. Cela est valable pour les chauffeurs, les sportifs, artistes, professeurs… Mais o;u se trouvent les anciens généraux, colonels, capitaines, commandants… pour commander les chefs de ces corps qui ont accepté d’exécuter les ordres illégaux de Macky.
Franchement, nous sommes dans un puits.
Que personne ne me parle de « grande muette », « devoir de je ne sais quoi encore »…
Des irresponsables ont affaissé toutes les institutions. C’est le devoir de tous de les condamner.
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