Taxé de promoteur de seconde zone, Assane Ndiaye prend sa revanche et promet…

Zarko-Modou Anta; Laye Pythagore-Marley; Papis Général-Quench, Armée-Ambulance, Pakala junior-Libidor; Pakala-Gris 2; autant d’affiches qui font saliver les amateurs de lutte. Et l’auteur de ce régale n’est rien d’autre qu’Assane Ndiaye qui, jusqu’à la saison passée, était classé dans la catégorie des promoteurs de seconde zone. Il n’a pas fini de surprendre le monde de la lutte car, taxé de prête-nom, le promoteur est celui qui a réussi ce que bon nombre de sénégalais croyait, presque, impossible: décrocher le combat Bombardier-Eumeu Sène.

Dans un entretien avec le journal l’Obs, Assane Ndiaye n’a pas manqué de se défendre de ces « allégations » en assurant avoir les moyens de ses ambitions. « Je suis dans la lutte depuis 2003 et ce n’est pas rien. J’ai gagné en expérience pour prétendre organiser de grands événements. Si, durant toute ma carrière de promoteur, je n’ai pas organisé de grand combat comme on dit, c’est que  je n’avais pas les partenaires qu’il me fallait. Cette année, je suis tombé sur les bons« , se glorifie-t-il, faisant part de son souhait de marquer cette saison de son empreinte.

Décidé à se laver à grande eau des accusations qui pèsent sur lui, il confie ne jamais s’engager dans des choses au-dessus de ses moyens. « Quand je décide de faire quelque chose, c’est parce que je peux y arriver. Si on me taxe de prête-nom ou de tout ce qu’on veut, c’est parce que le défi est trop lourd« , lance t-il avant de confier être en négociation avec d’autres lutteurs afin d’assurer aux amateurs un autre grand événement, histoire de boucler la saison à venir en toute beauté.

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