Souveraineté économique : Amadou Ba dévoile trois propositions de loi révolutionnaires
Le député Amadou Ba dévoile trois propositions de loi pour renforcer la souveraineté économique du Sénégal. Ces mesures visent à intégrer les Sénégalais dans le capital et le management des firmes étrangères, tout en favorisant les sous-traitants locaux pour une meilleure répartition des richesses nationales.
Texte in extenso :
3 propositions de loi sur la souveraineté économique:
1) Toutes les firmes étrangères installées au Sénégal doivent avoir au minimum de 15 à 25% de leur capital détenu ou réservé aux nationaux.
2) Dans leur top management, définir une liste de fonctions (DRH, Comptable, Audit interne, etc…) exclusivement réservées aux sénégalais.
3) Aucune multinationale, notamment celles du BTP, ne seront autorisées à acheter elles-mêmes le matériel roulant nécessaire à l’exécution des travaux (camions, pelleteuses, bulldozers, Tractopelles etc..).
La multinationale qui avait gagné le marché de ILA Touba, a eu le privilège de venir avec son propre matériel roulant flambant neuf, parfois même ses propres chauffeurs.
Désormais, pour tout ce qui fournitures, les firmes étrangères devront solliciter les sous-traitants sénégalais.
Ce qui se passe au sein de beaucoup de firmes étrangères installées dans notre pays est sidérant et révoltant, avec un capital entièrement entre leurs mains et tout le top management exercé par leur nationaux; les sénégalais réduits à exercer les fonctions subalternes d’ouvriers et caissiers.
Les multinationales déjà installées, devront dans un horizon à moyen terme, ouvrir leur capital aux Privé sénégalais.
Ce n’est ni du nationalisme, ni du protectionnisme, mais uniquement de la redistribution d’avantages offerts par notre pays et ses forces de travail.
Hon. Député Amadou Ba.
Des propositions concrètes et vraiment pertinentes. On peut à l’Assemblée Nationale mettre en place une commission pour les renforcer et améliorer .Bravo et espérons une suite conséquente et positive
Article pertinent d’Afrique confidentielle, je pose ça là :
« Depuis l’arrestation de Jérôme Bandjiaky, le pouvoir de Pastef cherche des indices pour rattacher son dossier au général Moussa Fall. Au terme des enquêtes menées par tous les services de la police et de la gendarmerie, aucun indice pouvant mouiller le général Fall dans l’affaire Bandjiaky n’a été retrouvé. C’est ainsi qu’ordre a été donné à l’ensemble des gendarmes sanctionnés par la justice militaire entre 2021 et 2024, de déposer concomitamment des plaintes contre ce général. Normalement, le capitaine Touré devrait lui aussi saisir la justice pour réclamer ses droits après sa radiation. Mais il s’est rétracté pour se contenter d’un post publié sur les réseaux sociaux ce 23 décembre 2024.
Ousmane SONKO, qui a fait remplacer le général Moussa Fall à la tête de la gendarmerie, semble ne pas être satisfait de sa vengeance contre ce haut officier irréprochable dans sa gestion de la sécurité nationale. Il faut dire que c’est grâce à Moussa Fall que l’État n’est pas tombé. Il a tenu tête face aux forces occultes de Pastef qui voulaient déstabiliser le pays. Il mérite plutôt la reconnaissance de l’État du Sénégal.
En plus, Ousmane Sonko ne mesure pas les risques qui pèsent autour de sa tentative d’humiliation du général Moussa Fall dont aucun des faits soulevés par ces deux anciens gendarmes ne peut lui être imputé !
La soif de vengeance du Premier ministre est en train de provoquer un malaise dans l’armée avec l’affaire du général Kandé hier et dans la gendarmerie aujourd’hui avec ce vaste complot qui vise le général Moussa Fall. D’autres plaintes seront encore annoncées, aussi bien contre Moussa Fall que contre l’ancien ministre de l’Intérieur Antoine Félix DIOME ! Le dénominateur commun des plaignants, c’est qu’ils sont tous militants de Pastef ! »
Bass,
Arrete tes manigances, la campagne electorale est terminee.
Le Jub-Jubal-Jubanti est maintenant en marche.
Naafekk va !
Le général Fall est un Soldat avec un grand S. Toute cette agitation et ces manœuvres de bas étage le laisse de marbre. On nous tue on ne nous déshonore pas.