Birahim Seck, coordinateur du Forum Civil, a critiqué le régime en place lors d’une visite de soutien au journaliste Madiambal Diagne, convoqué à la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC) le mardi 8 juillet.
Des accusations de tentatives d’intimidation
Selon Dakaractu, Birahim Seck a accusé le parti Pastef, actuellement au pouvoir, de vouloir « intimider les Sénégalais et les faire taire ». Il a déclaré que « le régime de Pastef a tort, et il continue de faire des erreurs », estimant qu’ils agissent comme s’ils étaient encore dans l’opposition.
Un appel à se concentrer sur les problèmes des Sénégalais
Le coordinateur du Forum Civil a également souligné que les Sénégalais attendent du gouvernement des solutions aux problèmes économiques et financiers, et non des « débats autour d’une personne ». Il a insisté sur l’importance de la liberté d’expression et de critique, affirmant que « lorsqu’ils ont tort, on a le droit de leur dire qu’ils ont tort ».
Vérité absolue Birahim, Pastef = incompétence, mensonges et manipulation
Nafekk birahim
Voila un imbecile ce BIRAHIM SECK .Le mec a été financé par SEYDOU KANE (ASER )pour attaquer le pouvoir .Les masques viennent de tomber .Ce forum civil est alimentaire .Les robinets sont fermes et ils ne savent plus sur quel saint se vouer .Ces attaques contre le PASTEF sont loi d’être gratuites
Le demi Dieu de la société civil, dis nous d’ou vient tes fonds. Nga mèle ni soupomé bou nioroul.
Un faux type ce Mec
Il ne perçoit plus rien voilà pourquoi il râle
Ses critiques, bien que se drapant du voile de la « liberté d’expression », semblent plutôt relever d’une amnésie sélective et d’une résistance au changement qui caractérise certains acteurs de l’ancienne garde.
Accuser le gouvernement de « se comporter comme s’il était encore dans l’opposition » est d’une hypocrisie manifeste. Le Sénégal a vécu des années de répression et d’injustice sous le régime précédent, où la liberté d’expression n’était qu’un vain mot pour quiconque osait défier le pouvoir. Où était alors la voix virulente de Birahim Seck lorsque des journalistes étaient arbitrairement arrêtés, des manifestants tués, et la justice instrumentalisée ? Cette nouvelle ère, loin d’être une « intimidation », est une tentative de rétablir l’ordre et la discipline républicaine, des principes qui ont été bafoués pendant trop longtemps.
Affirmer que « on ne doit pas avoir peur de dire la vérité » est un principe louable, mais il doit être appliqué avec cohérence et objectivité. La « vérité » de Madiambal Diagne, et d’autres comme lui, doit être soumise à l’épreuve de la loi, surtout quand elle s’aventure dans la diffamation ou la désinformation, qui peuvent déstabiliser la nation. La liberté d’expression n’est pas un permis pour l’anarchie ou la calomnie, et le gouvernement a le devoir de protéger les citoyens et les institutions des attaques injustifiées.
Quant au soutien à la presse, notamment la TFM, il est important de rappeler que la responsabilité journalistique est primordiale. Si certains médias s’écartent des règles éthiques et professionnelles, il est légitime que les autorités interviennent. Encourager des « débats démocratiques » ne signifie pas tolérer la diffusion de fausses informations ou l’incitation à la haine. Le rôle du gouvernement est d’assurer que le cadre légal est respecté par tous, sans exception.
En somme, Birahim Seck ferait mieux de se concentrer sur les réels défis du pays, plutôt que de s’ériger en défenseur d’une liberté d’expression à géométrie variable. Le Sénégal a besoin de construire, pas de revivre les vieilles querelles politiciennes. Le régime est en train de poser les bases d’une nouvelle gouvernance, et les critiques doivent être constructives, non motivées par une nostalgie d’un passé que le peuple a clairement rejeté.
Birahim seck a son problème personnel à régler avec pastef
Mais pour ça il ne fait défendre indéfendable
Le régime pastef ne va perfuser aucun parti politique ou organisation de la société civile.
Tu as raison
Les robinets publics sont coupés. Plus de querelles à la borne fontaine
Demal tok biahim seck tu n’est qu’un profitar fi moss doufi nane niekh ken topouleu