Trente années après la chute du Mur de Berlin et la dislocation de l’Union des républiques socialistes soviétiques (Urss) fondée autour de la Russie, durant le premier quart du vingtième siècle, on assiste à une renaissance… impériale de cette dernière.
Une œuvre colossale à mettre à l’actif d’un homme qui l’a menée de main de maître : Vladimir Poutine, Président de la Fédération de Russie depuis 2000. Aujourd’hui, le redressement moral, patriotique, économique et militaire du pays qui a vu naître Andreï Dmitrievitch Sakharov, Léon Tolstoï et Youri Gagarine, ayant atteint sa vitesse de croisière, voilà que la Russie regarde ailleurs. Vers d’autres horizons toujours plus grands : reconquérir et rétablir son aura internationale.
Un chemin, qui, aux yeux de Vladimir Poutine, doit nécessairement (re)passer par l’Afrique. Et cette nouvelle politique africaine de la Russie est la quintessence de cet entretien accordée à l’agence Tass avec une version française dédiée en exclusivité au « Soleil » avec la collaboration des autorités consulaires russes à Dakar. L’ambition telle que la décline le locataire du Kremlin consiste à réinvestir un continent qui fut le plus grand champ de bataille où se sont affrontés, près d’un demi-siècle de Guerre Froide, l’Urss et les Etats-Unis.
Cependant, Vladimir Poutine envisage ce retour en force autrement que sous le mode d’un véritable impérialisme dont la finalité reviendrait à spolier les pays d’Afrique. Avec le pragmatisme, le réalisme et le refus de la langue de bois qu’on lui connaît, il expose, ici, les contours et fondements de sa nouvelle politique africaine. C’est ce qu’il dira, dans deux jours, à Sotchi, en terre russe, à… quarante-sept Chefs d’Etat africains dont le Président Macky Sall, qui participeront les 23 et 24 octobre à ce premier Sommet Russie-Afrique.
Et manifestement, il tient à cœur à l’homme fort de Moscou, qui semble avoir tiré les enseignements utiles de l’histoire des relations entre l’Afrique et d’autres continents, de donner des gages à ses interlocuteurs. En posant, au-delà des discours, des actes dont le symbolisme ré- conforte. Par exemple faire co-présider ce sommet par le Chef d’Etat égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, par ailleurs Président en exercice de l’Union africaine.
Des présidents qui sont convoqués à tour de rôle par soit par la France,la Chine,les USA ou la Russie.
Décidément notre pays regorge de fumiers de la pire espèce qui rôdent aux alentours du pouvoir. Un dictateur qui convoque une majorité de dictateurs africains.
Ca c est le comble nous vendre Poutine comme un grand homme un despote qui emprisonne ses oposants annexe le territoires des voisins à accaparé des immenses richesses de son pays allez revoir votre copie monsieur nous voulons l Inde pendante pour nous même et par nous Sonko en est le pion et vous le thurefairere
Maudits soient les intello senegalais tous fee girouettes capable d legitimer2l inomable apres l avoir combattu ce gus en est un parfait exemple d la politik du ventr
thats unbelievable.you r promoting Putin?vous appellez Putin un grand homme?Vous etes cense etre un intelectuel?i am shocked.Mascky Sall a utilise l argent de la russie pour se faire elire.
vous irez tous in jail