Revue de Presse: Divers sujets au menu des Quotidiens

Les quotidiens reçus mardi à l’APS abordent une diversité de sujets se rapportant aux préparatifs de l’édition 2017 du Magal de Touba, la publication du rapport 2015 du Comité national-Initiative pour la transparence dans les industries extractives (CN-ITIE), etc.
« Le grand Magal de Touba, édition 2017 ce sera le 8 novembre prochain », annonce dans ses colonnes Sud quotidien. Le journal ajoute qu’en prélude à cette grande manifestation religieuse, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Aly Ngouille Ndiaye a présidé ce lundi une réunion nationale consacrée aux préparatifs de l’événement.
Le Comité d’organisation du grand Magal de Touba (COGMT) a profité de cette occasion pour « décliner les préalables pour un bon Magal et d’obtenir les garanties de l’Etat pour la réussite de l’événement », informe-t-il.
Citant les organisateurs, Sud quotidien écrit que « l’édition précédente a généré plus de 256 milliards de francs CFA ».
De même, le président du comité d’organisation du grand Magal de Touba, Serigne Bass Abdou Khadre est revenu, dans l’As, sur l’ »apport de cet événement religieux dans l’économie de notre pays ».
A l’en croire, « les rentrées d’argent enregistrées lors du Magal font 1/5 du budget du Sénégal. Des révélations confirmées par une étude scientifique réalisée par le Magal 2016 et rapportée par Cheikh Abdou Lahat Mbacké Gaïndé Fatma », note le journal.
En effet, ajoute-t-il, « ce Magal a réalisé un chiffre d’affaires de 250 milliards, dont les 45 milliards sont rentrés dans les caisses de l’Etat en guise de TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) ».
L’As s’est par ailleurs intéressé au rapport 2015 sur les industries extractives publié ce lundi par l’ITIE, en affichant à sa Une : « une gestion ténébreuse ». Selon lui, ledit rapport a relevé « plusieurs manquements de degrés différents dans la gestion du secteur extractif ».
D’ailleurs, poursuit la même publication, « pour absence de suivi des engagements contractuels en devise, la PETROSEN a eu un manque à gagner de 100.000 dollars USD (55,3 milliards FCFA) dans un contrat avec la société Blackstairs. Aussi, l’ITIE est incapable de donner la somme que les collectivités locales ont reçue de l’Etat des fonds du secteur extractif ».
Pour sa part, Enquête titre : « Publication du rapport 2015 de l’ITIE. Les milliards du sous-sol ». Le journal renseigne que « l’industrie extractive a rapporté 118 milliards de francs CFA, en 2015. ArcelorMittal, SOCOCIM, Sabodala gold operation, Dangote…, les grands contributeurs. PETROSEN et son manque à gagner ».
A propos de ce troisième Rapport de l’ITIE 2015, Le Témoin quotidien écrit que « les industries extractives ont contribué pour 102 milliards de francs CFA au budget de l’Etat en 2015 ». Toutefois, précise-t-il, « le total des revenus générés par ce secteur s’est élevé à 118 milliards de francs la même année ».
Sur le même sujet, Le Quotidien informe qu’ »au titre de l’exercice 2015, le secteur des industries extractives a généré un montant de 118,1 milliards de francs CFA, contre 117 milliards en 2014 et 46 milliards en 2013″.
Source Aps
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