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"Reptiles falsificateurs de diplômes" : Waly Diouf Bodiang vise Badara Gadiaga et soutient Amadou Ba ...

Dans un post sur sa page Facebook, Waly Diouf Bodiang a tenu à exprimer un soutien sans équivoque au député Amadou Ba, suite à son altercation verbale avec le chroniqueur Badara Gadiaga lors de l’émission Jakarlo.

Dans une publication tranchante, Waly Diouf Bodiang justifie la réaction musclée du parlementaire.

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« Amadou Ba a compris qu’il faut parfois quitter le piédestal de la science juridique pour descendre dans les caniveaux », écrit-il, avant d’ajouter : « C’est la posture obligée pour répondre à certains reptiles falsificateurs de diplômes. »

13 commentaires

  1. Alioune Toure

    BADARA GADIAGA DOIT ETRE POURSUIVI POUR FAUX ET USAGE DE FAUX ,ET D,ESCROQUERIE A L,ETAT POUR TOUS LES SALAIRES PERÇUS.


  2. Moustapha diakhate

    Son style incisif et sa maîtrise du français sont fréquemment salués par le public, comme en témoignent des commentaires le qualifiant de « meilleur chroniqueur » et soulignant ses « excellentes analyses » .

    Gadiaga a été membre actif du parti **Rewmi**, dirigé par Idrissa Seck. Il y a occupé des postes clés au sein du Secrétariat National et de la Cellule de communication pendant **16 ans**. En mars 2021, il a annoncé sa démission via un communiqué, évoquant une décision « mûrement réfléchie » après un compagnonnage marqué par « des joies, des peines, des succès et des échecs ». Il a exprimé sa gratitude envers Idrissa Seck et les militants du parti .Controverse autour d’un diplôme**

    Des accusations d’usage de faux diplôme ont émergé contre lui. Selon une enquête citée dans les sources, le **Brevet de fin d’études moyennes (BFEM)** qu’il a présenté (légalisé en 2003) porterait le numéro *11939/1998* du lycée Blaise Diagne. Or, la direction des Examens et concours aurait indiqué que ce numéro « n’existe pas » pour l’année 1998. Cette affaire a été relayée par Waly Diouf Bodiang (directeur général du Port autonome de Dakar) pour dénoncer une prétendue « justice à deux vitesses » sous le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye, soulignant que Gadiaga n’a pas été poursuivi malgré ces allégations .


    ### ⚖️ 4. **Critiques et soutiens publics**

    – **Soutiens** : Malgré la polémique sur son diplôme, de nombreux internautes défendent sa légitimité, arguant que ses compétences analytiques priment sur ses qualifications académiques. Des commentaires Facebook soulignent : * »Diplôme ou pas diplôme, on s’en fout, il fait d’excellentes analyses »* ou encore * »Il dérange une certaine classe politique »* .

    – **Critiques** :les véhicules des députés » et appelant à des poursuites judiciaires contre lui.

    Ses détracteurs voient en lui un symbole d’impunité, tandis que ses partisans valorisent son expertise et son franc-parler, illustrant un clivage entre reconnaissance du mérite professionnel et exigence de transparence académique .

    Figure médiatique respectée pour ses analyses politiques, Badara Gadiaga incarne aussi les tensions entre compétence perçue et validation institutionnelle au Sénégal. Son passé politique (16 ans au parti Rewmi) et sa reconversion dans le journalisme en font un commentateur redouté, tandis que les accusations de fraude académique alimentent les débats sur l’équité judiciaire. Son style incisif et sa maîtrise du français sont fréquemment salués par le public, comme en témoignent des commentaires le qualifiant de « meilleur chroniqueur » et soulignant ses « excellentes analyses » .

    Gadiaga a été membre actif du parti **Rewmi**, dirigé par Idrissa Seck. Il y a occupé des postes clés au sein du Secrétariat National et de la Cellule de communication pendant **16 ans**. En mars 2021, il a annoncé sa démission via un communiqué, évoquant une décision « mûrement réfléchie » après un compagnonnage marqué par « des joies, des peines, des succès et des échecs ». Il a exprimé sa gratitude envers Idrissa Seck et les militants du parti .Controverse autour d’un diplôme**

    Des accusations d’usage de faux diplôme ont émergé contre lui. Selon une enquête citée dans les sources, le **Brevet de fin d’études moyennes (BFEM)** qu’il a présenté (légalisé en 2003) porterait le numéro *11939/1998* du lycée Blaise Diagne. Or, la direction des Examens et concours aurait indiqué que ce numéro « n’existe pas » pour l’année 1998. Cette affaire a été relayée par Waly Diouf Bodiang (directeur général du Port autonome de Dakar) pour dénoncer une prétendue « justice à deux vitesses » sous le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye, soulignant que Gadiaga n’a pas été poursuivi malgré ces allégations .


    ### ⚖️ 4. **Critiques et soutiens publics**

    – **Soutiens** : Malgré la polémique sur son diplôme, de nombreux internautes défendent sa légitimité, arguant que ses compétences analytiques priment sur ses qualifications académiques. Des commentaires Facebook soulignent : * »Diplôme ou pas diplôme, on s’en fout, il fait d’excellentes analyses »* ou encore * »Il dérange une certaine classe politique »* .

    – **Critiques** :les véhicules des députés » et appelant à des poursuites judiciaires contre lui.

    Ses détracteurs voient en lui un symbole d’impunité, tandis que ses partisans valorisent son expertise et son franc-parler, illustrant un clivage entre reconnaissance du mérite professionnel et exigence de transparence académique .

    Figure médiatique respectée pour ses analyses politiques, Badara Gadiaga incarne aussi les tensions entre compétence perçue et validation institutionnelle au Sénégal. Son passé politique (16 ans au parti Rewmi) et sa reconversion dans le journalisme en font un commentateur redouté, tandis que les accusations de fraude académique alimentent les débats sur l’équité judiciaire. Son style incisif et sa maîtrise du français sont fréquemment salués par le public, comme en témoignent des commentaires le qualifiant de « meilleur chroniqueur » et soulignant ses « excellentes analyses » .

    Gadiaga a été membre actif du parti **Rewmi**, dirigé par Idrissa Seck. Il y a occupé des postes clés au sein du Secrétariat National et de la Cellule de communication pendant **16 ans**. En mars 2021, il a annoncé sa démission via un communiqué, évoquant une décision « mûrement réfléchie » après un compagnonnage marqué par « des joies, des peines, des succès et des échecs ». Il a exprimé sa gratitude envers Idrissa Seck et les militants du parti .Controverse autour d’un diplôme**

    Des accusations d’usage de faux diplôme ont émergé contre lui. Selon une enquête citée dans les sources, le **Brevet de fin d’études moyennes (BFEM)** qu’il a présenté (légalisé en 2003) porterait le numéro *11939/1998* du lycée Blaise Diagne. Or, la direction des Examens et concours aurait indiqué que ce numéro « n’existe pas » pour l’année 1998. Cette affaire a été relayée par Waly Diouf Bodiang (directeur général du Port autonome de Dakar) pour dénoncer une prétendue « justice à deux vitesses » sous le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye, soulignant que Gadiaga n’a pas été poursuivi malgré ces allégations .


    ### ⚖️ 4. **Critiques et soutiens publics**

    – **Soutiens** : Malgré la polémique sur son diplôme, de nombreux internautes défendent sa légitimité, arguant que ses compétences analytiques priment sur ses qualifications académiques. Des commentaires Facebook soulignent : * »Diplôme ou pas diplôme, on s’en fout, il fait d’excellentes analyses »* ou encore * »Il dérange une certaine classe politique »* .

    – **Critiques** :les véhicules des députés » et appelant à des poursuites judiciaires contre lui.

    Ses détracteurs voient en lui un symbole d’impunité, tandis que ses partisans valorisent son expertise et son franc-parler, illustrant un clivage entre reconnaissance du mérite professionnel et exigence de transparence académique .

    Figure médiatique respectée pour ses analyses politiques, Badara Gadiaga incarne aussi les tensions entre compétence perçue et validation institutionnelle au Sénégal. Son passé politique (16 ans au parti Rewmi) et sa reconversion dans le journalisme en font un commentateur redouté, tandis que les accusations de fraude académique alimentent les débats sur l’équité judiciaire. Son style incisif et sa maîtrise du français sont fréquemment salués par le public, comme en témoignent des commentaires le qualifiant de « meilleur chroniqueur » et soulignant ses « excellentes analyses » .

    Gadiaga a été membre actif du parti **Rewmi**, dirigé par Idrissa Seck. Il y a occupé des postes clés au sein du Secrétariat National et de la Cellule de communication pendant **16 ans**. En mars 2021, il a annoncé sa démission via un communiqué, évoquant une décision « mûrement réfléchie » après un compagnonnage marqué par « des joies, des peines, des succès et des échecs ». Il a exprimé sa gratitude envers Idrissa Seck et les militants du parti .Controverse autour d’un diplôme**

    Des accusations d’usage de faux diplôme ont émergé contre lui. Selon une enquête citée dans les sources, le **Brevet de fin d’études moyennes (BFEM)** qu’il a présenté (légalisé en 2003) porterait le numéro *11939/1998* du lycée Blaise Diagne. Or, la direction des Examens et concours aurait indiqué que ce numéro « n’existe pas » pour l’année 1998. Cette affaire a été relayée par Waly Diouf Bodiang (directeur général du Port autonome de Dakar) pour dénoncer une prétendue « justice à deux vitesses » sous le gouvernement de Bassirou Diomaye Faye, soulignant que Gadiaga n’a pas été poursuivi malgré ces allégations .


    ### ⚖️ 4. **Critiques et soutiens publics**

    – **Soutiens** : Malgré la polémique sur son diplôme, de nombreux internautes défendent sa légitimité, arguant que ses compétences analytiques priment sur ses qualifications académiques. Des commentaires Facebook soulignent : * »Diplôme ou pas diplôme, on s’en fout, il fait d’excellentes analyses »* ou encore * »Il dérange une certaine classe politique »* .

    – **Critiques** :les véhicules des députés » et appelant à des poursuites judiciaires contre lui.

    Ses détracteurs voient en lui un symbole d’impunité, tandis que ses partisans valorisent son expertise et son franc-parler, illustrant un clivage entre reconnaissance du mérite professionnel et exigence de transparence académique .

    Figure médiatique respectée pour ses analyses politiques, Badara Gadiaga incarne aussi les tensions entre compétence perçue et validation institutionnelle au Sénégal. Son passé politique (16 ans au parti Rewmi) et sa reconversion dans le journalisme en font un commentateur redouté, tandis que les accusations de fraude académique alimentent les débats sur l’équité judiciaire.


  3. Sow

    Depuis ce matin j’ attendais la sortie du rat du port qui n’ a plus de graines à grignoter tellement les calles des bateaux sont vides à cause de son incompétence et il la comble avec ses sorties insipides aka niak xorome ce prématuré


  4. Freeman

    Wally d bodian tu es le meilleur dg du port de tous les temps

    Ya tay wakhal ba sagar di khèègn


  5. Cheikh

    THIEUY bi DG khoulo akk TÉSSEUNTÉ REKK

    Il excelle dans le langage injurieux , péjoratif et calomnieux


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