Rama Yade, était de passage à l’émission Jury du Dimanche de ce 12 janvier 2020. L »ancienne secrétaire d’Etat française chargée des affaires étrangères et des droits de l’Homme a fait une analyse lucide sur le terrorisme.
« Le bien et le mal ne sont plus des repères »
« Au cours de cette dernière décennie, moi, j’ai l’impression qu’il y a eu une sorte de régression en termes de valeurs », s’est désolée la femme politique française d’origine sénégalaise. Pour elle, « le bien et le mal ne sont plus des repères aussi évidents pour tout le monde ».
« On a dit que c’était la fin de l’histoire »
Rama Yade a tenté d’expliquer cette montée de la violence faite au non de la religion, communément appelée terrorisme : « Après la chute des grandes idéologies, on a dit que c’était la fin de l’histoire ». Puis poursuit-elle, « on a décrété désormais qu’une mondialisation libérale portée par une démocratie à l’occidentale allait rallier à son panache le reste de la planète ».
« Une pensée mortifère a émergé »
Seulement, regrette-t-elle, « cela n’a pas été le cas ». Et cela s’explique, selon toujours la candidate à la présidentielle française de 2017, par le fait que » la pensée critique a émergé, ce qui est légitime, voire une pensée mortifère a émergé. »
« Une décennie du terrorisme »
Revenant sur les attaques terroristes en Afrique et en France, Rama Yade estime que « ça a été une décennie aussi du terrorisme ». Cependant, elle a tenu à préciser que « les premières victimes de ce terrorisme sont d’abord les musulmans eux-mêmes ».
Qu on le veuille ou pas. Rama Yade est une créature extraordinaire. Son passage dans le Gouvernement français a montré ce dont les africains sont capables. elle ne laisse pas indifférent ceux qui l écoutent
imbecile. donc ton pere est teroriste
Kaw kaw bul sagua papam ku bakh la sama mak moy turado papam togn bakhul amna nit nio khamni yar nagn len nign len war yare niu diar yonn bilen nekh rama yadd khamnako dakh sama bok la bign ne ap juif moko takk la wakhatul ay wakham
diop bien compri et mes excuse
Si l’imbecilite tuait on aurait jamais lu des âneries de ce genre
Car tu serai déjà enterré et les vers se seraient régalés
De grâce épargnés nous idiot