Présidentielle 2024 : « Toute tentative de report serait une trahison envers un peuple… », Pape Alé Niang

Toute tentative de report serait une trahison envers un peuple qui aspire à une voie éclairée par la justice et la vérité, affirme le journalite Pape Alé Niang dans cette contribution

Sénégal en ébullition : Un Appel à la Justice et à la Transparence (Pape Alé Niang)

Au cœur du berceau de la démocratie sénégalaise, les enjeux politiques prennent une ampleur inégalée. L’écho des voix passionnées résonne dans les rues, portant le fardeau des jeunes vies perdues, des prisonniers politiques et des exilés. Dans ce tourbillon politique, l’appel à la justice et à la transparence résonne comme un cri urgent.

Le peuple sénégalais, vibrant d’espoir et d’aspirations, se prépare à un moment décisif le 25 février 2024. Les cicatrices du passé et les promesses de l’avenir se croisent dans ce théâtre démocratique. Macky Sall et son régime répressif sont mis en lumière, accusés de maltraitances et de répressions.

La souffrance des prisonniers politiques, les sacrifices des exilés, et la perte de vies jeunes ne peuvent être simplement relégués aux arcanes de l’histoire. Chaque goutte de douleur doit être confrontée avec la lumière éclatante de la vérité. Le Sénégal, avec sa riche tradition démocratique, mérite mieux que des ombres sur son avenir.

Le 25 février 2024 se dresse comme un rendez-vous incontournable avec le destin. Les citoyens sénégalais, porteurs de l’espoir et de la volonté du changement, clament leur droit à des élections justes et transparentes. Toute tentative de report serait une trahison envers un peuple qui aspire à une voie éclairée par la justice et la vérité.

En cette période cruciale, le Sénégal ne peut se permettre d’être enchaîné par des retards ou des manœuvres douteuses. L’histoire ne doit pas être une répétition du passé, mais une progression vers une démocratie plus robuste et inclusive.

Dans cette quête pour l’avenir, la vigilance est la clé. Les yeux du monde observent le Sénégal, espérant que l’élection du 25 février 2024 sera un exemple éclatant de démocratie triomphante. Que chaque voix compte, que chaque vote soit compté avec précision, et que la vérité émerge incontestable.

6 COMMENTAIRES
  • Pabi

    Mon frère Papa Aly est très agité ces temps ci. C’est vrai, tout le monde souhaite la tenue de l’élection présidentielle le 25 février 2024. Rien ne doit plaider pour un report éventuel. Les candidats éliminés avaient tous exprimé leur satisfaction au démarrage du processus au CC. Ceux qui n’ont pas satisfait aux critères édictés ont été éliminé, ils doivent l’accepter au nom de la démocratie et de la sécurité. Il n’y a de honte pour cela. La vie est ainsi faite. Sauvons notre pays de toute menace de déstabilisation et asseyons autour d’une table et discutons.

  • Diallo

    Tout ce que vous savez c est condamner et accuser jamais de solutions s il faut reporter ces elections pourquoi pas?you bessyi dougou thi rewmi si non ce pays n a jamais connu ce genres de problemes

  • Raak

    Mais si le peuple accepte qu’on les prennent pour des esclavages des franc maçon il faut prenne ces responsabilités et le président Sonko qui est en prison avec Diomaye et tout les patriotes donc ils se sont sacrifier pour rien

  • Lamine Sidibé

    Ce qui fait pitié, c’est que Monsieur ne vois jamais du bon oeil une décision de l’état. Je ne sais pas ce qu’il veut pour le Sénégal et comme on dit que qui s’assemblent se ressemblent, il est comme son maître, le maître est allé en prison faire la grève de la faim, lui aussi est allé faire la même chose, le Monsieur arrête sa grève, lui aussi arrête. Quoiqu’il en soit, arrête de citer le peuple dans tes interventions malsaines. Tu ne peux parler au nom du peuple étant un collez nous la paix, les vrais opposants ne prônent jamais la violence. Le premier qui va chercher à créer des problèmes va chier des braises.

  • Thiaps

    C est tjrs cet ivrogne de classe exceptionnelle qui nous tympanise le peuple peuple n’a jamais été des soulards des violeurs assassins et j en passe foutre nous la paix

  • Daouda

    L’ivrogne tu n’es pas au bout de tes souffrances

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