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Pour lutter contre Ebola, les Etats-unis s'inspirent du Sénégal

L’épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola qui se propage davantage dans le monde a poussé les Etats-Unis qui ont enregistré leur premier cas, avec un jeune revenu du Liberia, à s’intéresser de l’exemple du Sénégal en matière de lutte contre la maladie. Une initiative qui réjouit les autorités sanitaires sénégalaises, notamment le Conseiller technique numéro 2 du ministre de la Santé.

S’exprimant sur la Rfm, hier, il est revenu sur la collaboration avec les Etats-Unis, concernant la guérison et surtout la gestion des personnes contacts. Le Dr Abdoulaye Bousso explique que l’expérience du Sénégal en matière de prise en charge de l’épidémie à virus Ebola, est un cas d’école dans le monde, et notamment aux EtatsUnis qui ont pris l’exemple du Sénégal.

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Notre pays est d’ailleurs cité dans la presse américaine, selon le conseiller technique numéro 2 du ministre de la Santé, Awa Marie Coll Seck, qui parle d’un «honneur pour notre pays.

Comme nous avons le même type de malade, donc c’est une expérience». «Et c’est vraiment à l’honneur du Sénégal, a-t-il répété, même si nous sommes un petit pays entre guillemets, on a pu montrer à la face du monde qu’avec une épidémie de la sorte, notre pays est outillé, que nous avons les autorités qu’il faut, l’engagement politique du ministre de la Santé pour pouvoir sortir d’une épidémie pareille».

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Confirmant qu’une équipe américaine du centre de gestion des maladies est à Dakar pour partager l’expérience du Sénégal de gestion d’Ebola, le Dr Bousso de magnifier cette collaboration.

«Il y a actuellement le contrôle strict des Etats-Unis. Et là, il y a quelques experts américains qui viennent nous consulter, surtout dans le contrôle des frontières et dans la prise en charge du cas au Sénégal. Ce qu’ils veulent savoir surtout, c’est comment les personnes contacts ont été prises en charge», souligne-t-il.

«Parce que c’est la partie la plus importante et la plus déterminante, cette prise en charge du cas et de l’ensemble des contacts et leur suivi sur 21 jours afin de pouvoir circonscrire l’épidémie, c’est déterminant dans la gestion d’Ebola», confie-t-il.
Le Populaire

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3 commentaires

  1. deug

    DOMOU DJOLOF ,TU N’AS RIEN D’UN PATRIOTE.QUEL INTERET CE GRAND SPECIALISTE DE LA SANTE ,LE DOCTEUR BOUSSO A DE MENTIR EN DISANT QUE DES MEDECINS AMERICAINS SONT VENUS NOUS VOIR POUR PARTAGER NOTRE EXPERIENCE EN MATIERE DE LUTTE CONTRE EBOLA?VA TE FAIRE FOUTRE SALE CANCRE SI TU NE RESPECTES PAS TON PAYS TANT PIS POUR TOI MAIS QUE TU LE VEUILLES OU NON LES USA ET TANT D’AUTRES PUISSANCES DE CE MONDE LE SONT.SENEGAL CA KANAM REK .WSSALAM!


  2. domou djoloff

    mdrrrrr doule rekk arrêtez de vous moquer des sénégalais. travaillez pour faire avancé le djoloff au lieu de nous distraire comment les etats unis peuvrnt s’inspirer du model sénégalais pour lutter contre lebola . les americains vont même se Marré de nous.


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