Ousmane Sonko défend sa candidature devant le Conseil constitutionnel, découvrez ses arguments
Le Premier ministre Ousmane Sonko, candidat aux élections législatives sous la bannière du parti Pastef, a récemment déposé son mémoire de défense devant le Conseil constitutionnel du Sénégal. Cette démarche fait suite à un recours introduit par la coalition Samm sa kaadu, qui cherche à invalider sa candidature, notamment en raison d’une condamnation antérieure dans l’affaire impliquant l’ancien ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang.
La coalition demande l’annulation de la candidature de Sonko, soutenant que sa condamnation définitive le rend inéligible. Ce dernier, à la tête de la liste Pastef pour les élections prévues le 17 novembre 2024, s’est entouré d’un important groupe d’avocats pour sa défense, parmi lesquels figurent Mes Ousseynou Fall, Massokhna Kane, et Henry Valentin Gomis.
Dans sa défense, Sonko et ses conseillers ont souligné plusieurs points juridiques pour réfuter les accusations. Le mémoire rappelle qu’une autre réclamation a été déposée le 8 octobre 2024 par Maguette Sy, représentant de la coalition TAKKU WALLU Sénégal. Cette réclamation vise à invalider la liste des suppléants du Pastef pour non-respect de la parité homme-femme, en avançant que l’un des candidats, Hady Gaye, serait un homme et non une femme. Cette accusation a été qualifiée de « mal-fondée » par les avocats de Sonko.
Concernant les raisons juridiques invoquées pour l’invalidation de sa candidature, Sonko fait face à deux principaux arguments. Le premier porte sur une prétendue inéligibilité liée à une condamnation par contumace. Le second concerne une peine de six mois d’emprisonnement avec sursis qui lui a été infligée. Ses avocats contestent la pertinence de ces motifs, rappelant que la coalition Pastef-les Patriotes, sous laquelle il est investi, est bien distincte de toute autre liste que ses opposants tentent de faire invalider.
La défense de Sonko rejette également la réclamation relative à l’existence d’une « Coalition PASTEF », soulignant que cette dénomination n’existe pas formellement, le parti se nommant Pastef-les Patriotes. Cette précision rendrait la demande de la coalition TAKKU WALLU Sénégal sans objet, selon ses avocats.
Le Conseil constitutionnel, chargé d’examiner ces arguments, devra trancher sur la validité de la candidature d’Ousmane Sonko ainsi que sur les diverses réclamations visant à remettre en cause la légitimité de la liste des suppléants de son parti.
Thieuye deuk deuk senegal ame na changement. Su temp de Macky qui refuser d’appliquer les decisions de justice, son premier ministre n’allait meme envoyer des avocats au conseil constitutionnel pour plaider sa cause. Il allait participer par force. Li mo bakh. Deukk loi mou koye dokhal.
Si Barthélémy est enlevé dans la liste électorale SONKO LE DANGER
DOIT PAS ÉCHAPPER
Le Conseil va trancher sans état d âme.
Ce n’est pas une menace mais une mise en garde ! Invalider quoique ce soit sur la liste PASTEF encoure des risques de troubles à l’ordre public
Ce n’est pas une menace mais une mise en garde encore une fois
On est fatigués de ces prédateurs naturels
Il est temps que le que le sénégalais abandonné la politique politicienne. Il est temps que le sénégalais apprenne à dire la vérité et à œuvrer pour le développement du pays.Quand c’est Macky lui même qui voulait que Sonko soit candidat à la présidentielle,il est surprenant de constater que c’est ce même Macky qui lui refuse la candidature aux législatives.Ayez quand même du respect pour le peuple sénégalais.Annoblissez la politique au Sénégal.Nous sommes fatigués de vivre les anti valeurs de notre société qui n’est point un exemple pour la jeunesse.Soyons dignes et vivons dignement .
Vraiment vous avez raison touts ces gens lá qui s’agitent n’ont qué leurs intêrets personnels comme point de mire. Ils n’ont cure du bien être des Sénégalais, nous voulons un pays apaisé oú les gens peuvent travailler et s’épanouir calmement, basta avec la politique politicienne.
Je déteste le pds , khalifa Sall
Que le jub,jubal et jubanti soit strictement appliqué.