Nouveau mouvement ‘Justice Sans Frontière’ pour renforcer l’éducation juridique

Nouveau mouvement ‘Justice Sans Frontière’ pour renforcer l’éducation juridique

Le Sénégal voit l’émergence d’un nouveau mouvement au sein de sa société civile. Nommé ‘Justice Sans Frontière’ (JSF), ce mouvement a été fondé pour promouvoir les droits et devoirs des citoyens en insistant sur la justice sociale. Me El Amath Thiam, consultant spécialiste en droit pénal, a été désigné à la présidence de cette organisation.

‘Justice Sans Frontière’ adopte une approche pédagogique centrée sur l’éducation juridique et judiciaire. Le mouvement organise des ateliers, séminaires et conférences visant à sensibiliser le public aux droits de l’homme et aux enjeux juridiques. Cette initiative aspire à rendre le droit accessible et compréhensible pour tous, peu importe le niveau d’éducation ou le contexte social.

JSF est né du besoin de combler l’ignorance et l’inculture des systèmes judiciaires nationaux et internationaux. Me El Amath Thiam a précisé que ‘JSF vise à garantir que chaque individu, peu importe sa nationalité, race ou statut socio-économique, ait accès à une justice équitable et impartiale.’ Le mouvement se veut une réponse aux injustices systématiques, aux abus de pouvoir et aux violations des droits de l’homme.

La mission de ‘Justice Sans Frontière’ inclut la lutte contre l’impunité et les longues détentions. JSF milite pour la justice et l’obligation de rendre des comptes. Parmi ses domaines d’action, on trouve la migration irrégulière, les violences faites aux femmes, aux enfants et aux personnes démunies, ainsi que la préservation de l’environnement et de l’eau.

Les membres du mouvement sont divers et incluent avocats, juristes, spécialistes des droits de l’homme, droit international et droit pénal. Ces professionnels fournissent des conseils juridiques et représentent les victimes auprès des autorités. JSF compte également des activistes, défenseurs des droits de l’homme, universitaires, médecins, journalistes et experts en sciences sociales, politiques et juridiques, qui mènent des recherches pour soutenir les actions du mouvement.

1 COMMENTAIRES
  • ABT

    DÉJÀ LE FAITE DE DIRE SEULEMENT VIOLENCE FAITE AUX FEMMES SANS DIRE AUSSI FAITES AUX HOMMES, VEUT DIRE QUE CE MOUVEMENT JURIDIQUE OU JUDICIAIRE EST DEJA PARTIALE.
    DJIGUENE NGAY GUISSE MOU SODÉ DIEKEURAME: SOTI NDOKH MOU TANG, WALA D’HUILE, DJIGUENE MOY FANANO PAKA DAGG HAWRA GOOR, DJIGUENE MOY DEFF POISON CI LEEK DIOKH KO DIEKEURAM.
    DJIGUENE MOY DIOUR BEBE DOUGAL CI FOSSE . WALA TODJI BOPPOU LIRE.. ETC…
    AVEC TOUS CES EXEMPLES ET C’EST PAS FINI VOUS DITES TOUJOURS VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

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