Moustapha Diakhaté : Des Lettres en Détention et l’Espoir Politique
Moustapha Diakhaté, figure politique emprisonnée à Rebeuss, continue de faire honneur à sa passion pour l’histoire et la politique, en rédigeant et en lisant avec assiduité. Lors d’une visite, son ami a pu constater que même en détention, Diakhaté ne perd pas sa capacité à analyser les événements sous un angle historique et à garder son sens de l’humour. Il a notamment demandé qu’on lui fasse parvenir l’ouvrage « Discours sur la servitude volontaire » de La Boétie, afin de nourrir sa réflexion.
Diakhaté occupe ses journées en terminant des livres et envisage un avenir empreint de progrès, tout en restant fidèle à ses convictions libérales, qu’il incarne en tant qu’intellectuel engagé au service de la République. Ce parallèle avec Antonio Gramsci, qui a écrit « Les Cahiers de prison » également en détention, n’est pas anodin. Comme Gramsci, Diakhaté utilise son emprisonnement pour développer une pensée plus approfondie sur la société.
Le silence des intellectuels face à la répression politique actuelle est déploré par Hamidou Anne, auteur de l’article publié sur Le Quotidien, qui pointe une certaine apathie et un manque de mobilisation comparé à des combats antérieurs menés contre des régimes précédents.
En observant la scène politique sénégalaise de 2024, il évoque une ère de populisme où la compétence et l’intégrité intellectuelle semblent écartées au profit de l’ignorance. Anne rappelle que malgré les déclarations creuses et les promesses non tenues par les dirigeants, les Sénégalais ont confié leur avenir lors des élections, et il appellent à une résistance républicaine en réponse aux menaces pesant sur les libertés.
Le défaitisme est banni dans cette perspective ; l’espoir réside dans la proposition d’une alternative politique solide qui renforcerait la République, tout en encourageant l’égalité et la justice sociale. Pour 2025, Anne se fixe pour objectif de construire cette alternative, inspirant une insurrection citoyenne animée par les valeurs républicaines. Il souhaite que cette mobilisation soit un levier pour restaurer le prestige du Sénégal sur le plan international, loin des tensions nationalistes.
Au-delà de la critique, c’est un appel à l’action que lance Hamidou Anne, en vue de bâtir une société plus équitable, en harmonie avec les idéaux républicains. Comme le souligne l’article de Le Quotidien, cet engagement est crucial pour rendre espoir à une nation en quête de renouveau.
Mr les révolutionnaires lorsque le ventre est plein et entre deux cuisses supportant une rondeur à couper le souffle, nous vous attendons sur le terrain politique.
Celui là il ne veut pas que le bonhomme soit oublié le temps qu’il reste en prison . Moi je pense avec une très forte conviction que Moustapha diakhate n’est ni mauvais , ni méchant , il est juste un malade mental qui doit être soigné. Ce qui conforte mon intime conviction c’est que quand on proclame haut et fort dans les médias , ici au Sénégal ( pays très fortement attaché à la religion musulmane ) que la maman du prophète Mouhamed spl n’est pas meilleure que ma mère , je cite Moustapha diakhate , alors je pense qu’il y’a un gros problème mental chez ce bonhomme là . C’est depuis cette déclaration que j’ai pensé la liberté de la presse pouvait aussi être danger pour la paix sociale . Une telle assertion dans certain et quelqu’un vous agresserait ou mêlé vous tuez dans la rue . J’espère qu’au sortir de cette thérapie monsieur diakhate ira mieux . Dans nos traditions thérapeutiques certains flagellent les fous pour les soigner . Espérons pour lui que l’enfermement qu’il entrain de subir se traduira par une bonne thérapie afin qu’il s’améliore et ou qu’il retrouve santé sa mentale .
Si vous êtes capable de montrer aux sénégalais Clairement que le chemin que les « jumeaux » nous entraînent n’est pas la bonne.
Alors organisez des débats et autres rencontres pacifiques, sans chroniqueurs ou nihilistes ou opportunistes pour identifier les erreurs de vision horizon 2050.