Le Président Diomaye face à une gestion délicate de l’État sénégalais
Alors que la gestion actuelle du Sénégal suscite des inquiétudes, il est crucial de se rappeler que le rôle d’un président est d’agir avec détermination plutôt que de se lamenter. Cette quête de solutions est d’autant plus essentielle face aux défis auxquels le pays est confronté. Nous exprimons notre solidarité envers Abou Diallo et Oumar Sow, incarcérés pour des propos jugés comme une incitation à la discrimination ethnique, selon le procureur de la République. Une situation révélatrice de ce que certains qualifient de dérive autoritaire du régime en place. Notons que plusieurs personnalités, dont des directeurs de publication et journalistes, ont également été confrontées à cette réalité sous la gouvernance actuelle.
Le retour de Moustapha Diakhaté dans la sphère publique après deux mois de détention constitue une opportunité pour réaffirmer l’importance du pluralisme et de la liberté d’expression. Malgré sa détention pour ce qui a été considéré comme une insulte, il reste déterminé à poursuivre son combat pour la démocratie, comme l’a témoigné sa déclaration à la Rfm sur sa volonté de défendre cette cause avec ardeur.
Pendant ce temps, la première Conférence des administrateurs et managers publics a mis en lumière les propos du président de la République, qui s’est préoccupé de la situation budgétaire et administrative du pays. Après neuf mois de pouvoir, le constat est inquiétant : marges de manœuvre financières inexistantes, administration figée, et secteur parapublic inefficace. Cela soulève des questions sur la capacité du gouvernement à répondre efficacement aux besoins de réformes structurelles et administratives indispensables.
Évoquant l’histoire récente du Sénégal, l’auteur, Bachir Fofana, rappelle les choix stratégiques adoptés par d’anciens présidents face à des défis similaires. Que ce soit Abdoulaye Wade ou Macky Sall, chaque dirigeant a fait face à des situations économiques complexes, toutefois en s’abstenant de trop communiquer sur les difficultés héritées. Cette tradition de discrétion visait à maintenir l’espoir des citoyens et la confiance des partenaires internationaux.
La déclaration du président paraît, par contraste, tristement résignée, dénonçant un état des lieux sans proposer de visions concrètes pour l’avenir. L’auteur de l’article, publié dans Le Quotidien, souligne que l’absence de stratégie claire de la part du parti Pastef risque de décevoir les électeurs qui espéraient un changement tangible sous leur gouvernance. Le manque de mesures décisives et de réformes ambitieuses soulève des doutes sur la capacité du président à incarner un véritable leadership, indispensable pour attirer investissements et garantir le bien-être général des Sénégalais.
Comment un malhonnête corrompu peut avoir une tribune 🤷🏽♂️, ça sent le désabonnement massif 🤔 ,un 72🤔…..
Fofana il est au chômage depuis, qu’il a été viré comme un mal propre de son poste sur payé pour son travail de pourriture qu’il menait pour l’Apr
Il rumine sa haine comme un rat affamé dans son trou
Pauvre corrompu il finira par fermer sa sale gueule
Fofona dakh biniou la dakh moy khoti sa badio ndaye bi santale yalla so moy tou woule avant 15 février digua deme rebeusse barke serigne touba rew gua cheytane gua domarame gua makhala ni rek gua meuna mêle sa bye dafa betone sa yaye si kaw lale bimou done katé moufaye katanté ak kenene mou fasse sa ndaye domou ndiallo kate ni rek la meuna mele
khawma bali bali khawma belle bella je pense que kéneu nga ci mouton wou pastef yi wayé saches que gni djité Rémi non seulement mounougnou dagno teulé et enfin bougougnou Rémi avancé ils ne sont là que pour leurs propres intérêts
Mdr….nonguoul dogual te nopalou. Kou moune dou lepp 17 milles milliards ak un train de 30 kilometres a 1275 milliards.
Fofana Yalla bou sa yèenè si Sénégal amm. Beugoolèen Sénégal yaw ak sayy andadoo. Abou Diallo, Omar Sow, Moustapha Diakhassè ont violè la loi dans un État responsable et doivent assumer leurs propos. Si quelqu’un à violé la loi hier sans coup férir, cela ne doit jamais être un exemple ou une jurisprudence pour aujourd’hui et pour un État de Droit
Est vôtre gars il a fait pire