Mauritanie: Un sénégalais retrouvé mort dans la rue

Mauritanie: Un sénégalais retrouvé mort dans la rue

Une onde de choc traverse la communauté sénégalaise après la découverte tragique du corps sans vie de M. Amar, surnommé affectueusement « Naar », ce vendredi à Nouakchott, capitale de la Mauritanie.

Originaire de Guemoul, le jeune homme a été retrouvé gisant dans une rue aux alentours de 17 heures, victime d’une blessure mortelle à la cuisse infligée par un couteau. Tout laisse à penser qu’il s’agit d’une agression criminelle.

Les autorités mauritaniennes ont immédiatement ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes du meurtre. Selon des informations relayées par RFM, plusieurs hypothèses sont à l’étude, mais la piste d’une attaque violente reste privilégiée par les enquêteurs. 

3 COMMENTAIRES
  • Komko

    Musulmans de tous les pays rentrez chez vous.
    Libérez les rues de paris, de londres, amsterdam, Pékin, Sydney.
    Et venez à touba.

  • Fodé Diallo

    😭😭😭😭😭 c’est très triste

  • on dit quoi bro ?

    Le livre « La Civilisation judéo-chrétienne. Anatomie d’une imposture » de Sophie Bessis, paru en mars 2025, déconstruit le concept de civilisation judéo-chrétienne et critique son usage politique actuel.

    Signification du concept

    Le concept de « civilisation judéo-chrétienne » est apparu dans les années 1980 et fait référence à l’idée d’une intrication forte entre le judaïsme et le christianisme comme fondement de la civilisation occidentale. Il suppose une continuité culturelle et historique entre ces deux religions, les présentant comme les racines principales de l’identité européenne et occidentale.

    Critique du concept

    Sophie Bessis avance plusieurs arguments pour remettre en question la pertinence de ce concept :

    Construction politique récente : Le terme occulte l’antagonisme historique entre judaïsme et christianisme qui a persisté jusqu’à la seconde moitié du XXe siècle.

    Occidentalisation du judaïsme : Les juifs n’ont été considérés comme partie intégrante de la civilisation européenne qu’après la prise de conscience des horreurs du nazisme.

    Exclusion de l’islam : Le concept fonctionne comme une « machine à expulser » l’islam, négligeant ses apports à la civilisation européenne.

    Survalorisation du facteur religieux : L’auteure critique la tendance à utiliser le registre religieux pour qualifier tout fait de culture, au détriment d’autres facteurs historiques.

    Instrumentalisation politique : Le concept est utilisé par certains groupes politiques pour se positionner comme défenseurs de la civilisation occidentale contre une prétendue « barbarie musulmane ».

    Pertinence du concept

    La pertinence du concept de « civilisation judéo-chrétienne » est largement remise en question par Sophie Bessis et d’autres critiques :
    Il simplifie excessivement l’histoire complexe des relations entre judaïsme et christianisme.
    Il néglige l’importance d’autres influences culturelles, comme l’héritage gréco-romain.
    Il peut être utilisé comme outil d’exclusion et de division, notamment vis-à-vis de l’islam.

    Cependant, certains argumentent que le concept peut refléter certains aspects partagés entre le judaïsme et le christianisme, ainsi que leur influence sur la culture occidentale. Néanmoins, son utilisation politique et son caractère réducteur en font un concept controversé et potentiellement fallacieux.

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