Mamadou Lamine Keita est sorti de sa réserve. Acculé de toutes pour qu’il dise de quel camp il est, l’ancien ministre de la jeunes a, dans une déclaration publique affirmé en effet qu’il va voter NON et faire NON le 20 mars prochain.
« Je considère que ceux qui m’ont invité par presse interposée à décliner ma volonté voulaient seulement faire le buzz. En effet, moi, j’appartiens à une entité politique en faveur du NON. Alors, ma position naturelle, c’est de dire non « , a dit Keïta.
Avant d’ajouter : «(…) Les raisons, je peux les trouver, à la fois, dans la forme et dans le fond. Sur la forme, je dirai que les questions qui doivent être soumises à l’appréciation du peuple devaient préalablement faire l’objet d’un large partage. C’est la première fois qu’un référendum est organisé au Sénégal et qu’on voit une bonne frange de la population dire NON au président de la République. Je suis, moi, un fervent défenseur du dialogue et des concertations autour des questions nationales. Par conséquent, pour moi, l’absence de concertations sur cette question, est un argument suffisant pour ne pas voter oui ».
Ou
Ou rek
"On peut tromper tout un peuple, une partie du temps. Mais, on ne peut pas tromper une partie du peuple, tout le temps."
Mes chers compatriotes.
Le dimanche 20 mars 2016, nous devons être debout comme un seul homme, pour stopper le président SALL dans sa volonté de torpiller notre démocratie.
Si l’image du Sénégal a été écornée ces dernières semaines par Macky SALL, il faudrait une journée à son peuple pour la restaurer aux yeux du monde entier dans le calme et la sérénité.
Ce dimanche 20 mars notre pays a de nouveau rendez-vous avec l’histoire. C’est notre démocratie qui est enjeu et nous sommes interpelés.
Ainsi, chacun d’entre nous doit prendre ses responsabilités pour empêcher le Oui !
Car voter Oui, c’est trahir la génération de demain !
Alors pour que la sanction soit sévère, nous devons nous rendre massivement aux urnes afin d’infliger à Macky SALL et son régime la plus cuisante défaite possible en votant Non et lui pousser à la démission.
Ça donnera à notre classe politique et au futur président une leçon de méditation et d’avertissement.
Mes chers compatriotes chacun d’entre-nous est indispensable pour porter ce combat.
Car l’élection du 20 mars n’est pas un choix entre deux candidats ou deux programmes, mais un référendum contre le président Mack SALL, de son reniement et à ses réformes.
Evitons l’attitude qui consiste à considérer notre vote comme étant inutile puisque l’affaire est déjà pliée, car dans ce cas peu d’électeurs iront voter et nous pourrons peut-être le regretter pendant le reste de son mandat.
Je vote Non !
Vive la république, vive le Sénégal.
Démléne votédji!!!
Nooooonnnn bou saf sap rek
non
non rekk
non rek