Lutte et dopage: Péril dans l’arène

Les lutteurs qui s’adonnent aux anabolisants, aux corticoïdes, au chanvre indien et autres types d’excitants similaires risquent le diabète, l’hypertension, l’Avc, le cancer de foi et l’impuissance sexuelle. Ce tableau très sombre a été décortiqué par le Docteur Hamed Diop lors d’un débat consacré à la lutte. Le chef de l’agence antidopage au Sénégal indexe la reconnaissance sociale, l’appât du gain rapide et l’accessibilité des produits dans les marchés comme les motivations majeurs.
Le chef de l’agence antidopage au Sénégal est revenu sur les méfaits du dopage sur le corps des métiers. D’habitude les lutteurs âgés qui veulent développées leurs muscles s’amusent à prendre ces substances qui non seulement augmentent leurs masses musculaires mais surtout la foi et le tissu osseux entraînant beaucoup de complications et d’anomalie comme l’acromégalie, a-t-il fait savoir avant de signaler qu’au niveau des corticoïdes, les effets secondaires sont plus néfastes et plus nombreux. « Il y a l’augmentation du cholestérol, de la graisse et à un moment donné ces lutteurs deviennent joufflus ». Le danger sera plus grave selon le docteur qui s’inquiète des lutteurs qui utilisent des mélanges de différents produits dont les conséquences peuvent être dévastateur, précise-il .Quant aux stimulants, le docteur déclare qu’il va entraîner des troubles neuropsychiques chez le lutteur qui va devenir agressif.
D’autres aussi parmi eux utilisent le cannabis ou le chanvre indien pour surmonter la peur avec les coups. Mouhamed Diop explique qu’au début, pour un fumeur, les effets ne sont pas nombreux, mais après c’est toute une vie qui se gâte parce qu’il est pris dans un engrenage.
A lire: Vidéo – L’histoire d’un génie sur les pas de Messi et de Cr7
Concernant les anabolisants qui permettent d’augmenter les masses musculaires avec une charge d’entrainement, cela introduit des modifications et certaines maladies comme le cancer, l’impuissance sexuelle, les problèmes de prostate, l’augmentation de glycémie et la tension qui sont des facteurs de risque cardiovasculaire. C’est un phénomène manifeste, affirme-t-il, chez les lutteurs avec des surpoids subits des acnés sur le visage à l’âge de 28 ans. En fin, il y a la transfusion qui entraîne les risques d’hépatiques ou le VIH.
Macky n’a pas d’opposition mais ennemis armés par des marabouts trafiquants de drogue dont leur passeport est confisqué.
Serigne you bari takh diabar you bari diaye drogue nane Sangara moy sen métier
C’est honteux
Les commentaires sont fermés.