L’État du Sénégal s’est constitué partie civile dans les procédures judiciaires ouvertes contre l’opposant politique Ousmane Sonko et son avocat, Me Juan Branco. Cette décision marque une nouvelle étape dans la bataille juridique qui oppose le gouvernement sénégalais à Ousmane Sonko, qui a été placé sous mandat de dépôt pour divers crimes le 31 juillet dernier par le Doyen des juges d’instruction, Oumar Maham Diallo.
La nouvelle a été confirmée par une lettre datée du 7 août 2023, adressée par l’agent judiciaire de l’État aux juges d’instruction. Me Ndèye Anta Mbaye, membre du pool d’avocats de l’État, a déclaré : « Un pool d’avocats est mis sur pied pour se constituer dans ces procédures et dans toute autre concernant les pertes, les préjudices infligés à l’État du Sénégal dans ce contexte ».
Me Mbaye a également précisé que l’État peut se constituer partie civile pour la réparation d’un préjudice qu’il aurait subi du fait d’une infraction pénale. Cela fait suite aux violentes manifestations qui ont secoué le pays, causant plus de 40 morts et d’importants dégâts matériels, à la suite de la convocation en justice de Ousmane Sonko. On notera que ces troubles ont été provoqués par des procès mettant en cause Ousmane Sonko, le ministre Mame Mbaye Niang, et l’ex-masseuse Adji Sarr.
C’est quand le procès des 50 personne tués par les nervis de apr et bby que les armes à été commandées par le palais et les milles milliards du Covid avec les rapports de OFNAC IGE et autres