L’armée nigériane a affirmé mercredi avoir tué plus de 300 combattants de Boko Haram en reprenant cette semaine la ville-garnison de Monguno, dans l’État de Borno (nord-est), tombée le 25 janvier aux mains du groupe islamiste.
« Plus de 300 terroristes ont été tués et une poignée ont été capturés » par l’armée, qui a enregistré dans ses rangs deux morts et dix blessés, a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense, Chris Olukolade, dans un communiqué.
Aucun bilan de source indépendante n’est généralement disponible concernant les chiffres des pertes donnés par l’armée nigériane.