« Le jeu politique à Saint-Louis est assimilable à une partie d’échec… »

Le jeu d’échec prend fin à la capture du roi. Il s’articule également du genre tous contre un. En effet, tous concourent à porter l’estocade au roi, celui sur le trône, afin qu’il disparaisse.

Aujourd’hui, le jeu politique à Saint-Louis est assimilable à une partie d’échec. Tous les participants au jeu, celui politique notamment, n’ont qu’un seul objectif qui n’est que la capture du Maire.

En effet, alors même que la date des élections locales prochaines n’est pas pas encore connue, une horde de candidatures est déjà officiellement connue.

Deux constats découlent de l’appréciation de ces candidatures. Et, ces constats relèvent du factuel, ni plus ni moins.

Premièrement, la majorité des candidats aux élections locales dont la date est encore méconnue a eu à braver le fer avec le Maire actuel et tous ont mordu la poussière.

Deuxièmement, un des candidats, le plus revanchard et machiavélique, n’a jamais accepté le leadership du Maire et le fait qu’il soit aux commandes justifiant qu’il piaffe d’impatience la tenue des élections pour en découdre avec lui.

En conclusion, le un contre tous est manifeste.

Seulement, ce qui est plus drôle est que le Maire actuel ferait preuve de sagesse et de responsabilité en évitant de parler de candidatures à des élections alors que simultanément, le travail est présent et que la date des élections est encore méconnue. À juste titre, y épiloguer reléguerait les besoins des populations au second plan. Situation inacceptable pour lui.

Par contre, et c’est là où c’est intéressant et où il est recueilli l’attention du citoyen appelé à voter, pendant que ces candidats déclarés élaborent des stratégies pour déconstruire totalement ce qui est fait, le Maire, le concernant, reste dans sa logique de développer Saint-Louis. Il est sur le feu de l’action et fait face, tous les jours, aux obstacles qui se dressent à lui.

Par conséquent, il faut prendre en considération cet aspect haut important et comprendre que les motivations premières entre hommes politiques saint-louisiens ne sont pas comparables.

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