La résistance à l’oppression figure à l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, qui dispose que : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ».
À l’origine de ce texte se trouve l’idée qu’une démocratie ne peut pas vivre sans le soutien de ceux à qui elle est destinée, les citoyens. Ils doivent non seulement jouir des droits qu’un régime de liberté leur assure, mais ils doivent également être en mesure de se mobiliser afin d’empêcher un pouvoir non démocratique de s’installer ou d’en abuser.
On éteint pas la violence politique. On la prévient à travers des mécanismes d’alerte avec des acteurs engagés, courageux, sincères et désintéressés.
*Coordonnateur communal
Pastef Ziguinchor
abdousanegnanthio@gmail.com
Le neddo bandou sauce diola sera plus violent que celui qu’on voit actuellement