La Gambie va réintègrer le commonwealth
le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson a rencontré le président Adama Barrow et plusieurs ministres pour marquer formellement le retour de la Gambie dans le concert des nations. Le même jour, la Gambie annonçait qu’elle renonçait à se retirer de la Cour pénale internationale et qu’elle souhaitait réintégrer le Commonwealth.
Pour son premier voyage en Afrique en tant que ministre, Boris Johnson était attendu. Ce thème du Commonwealth lui avait valu un déluge de commentaires en 2002, après un éditorial malheureux et raciste sur « ces foules de négrillons agitant des drapeaux » pour accueillir la reine.
Les journalistes gambiens qui comptaient l’interroger là-dessus lors d’une conférence de presse ont été priés de ravaler leurs questions. Pas question de gâcher l’annonce du retour de la Gambie dans l’organisation issue de l’ex-empire, que Yahya Jammeh avait quittée avec fracas en 2013, la considérant comme un prolongement de la colonisation britannique.
Et peu importe si, comme le rappelle le secrétariat du Commonwealth, l’adhésion est un long processus et devra être validée par les 52 chefs d’Etats. Boris Johnson a assuré qu’il ferait tout son possible pour accélérer les choses, précise Rfi.
L’Afrique, tant exploitée et indignée, n’a pas besoin de traitres. Ce tristement célèbre « homme politique » de la Guinée Equatoriale, SEVERO Moto, nous prend-t-il pour des damnés de la terre ou des amnésiques ? Lorsque, s’exprimant sur les ondes d’une radio impérialiste, il demande l’organisation d’un procès pour juger Yaya Djammeh. Tout à faisant passer la Guinée Equatoriale pour un pays instable condamné par la communauté internationale et la population du pays (entendez les Etats Unis, l’Europe et le Japon).
Quelle honte bue pour ce SEVERO Moto qui, de l’Espagne, envoyait un bataillon de mercenaires drogués pour tuer Equato-Guinéens ses frères et sœurs… pour s’emparer du pouvoir en marchant sur des cadavres et continuer de servir ses maitres occidentaux. Comme d’autres, il ne fait que réciter la leçon du maitre à l’affût délirant par l’odeur du pétrole et des gigantesques marchés qui lui échappent. Tous judicieusement gérés par le panafricaniste Obiang Nguéma Bassogo qui travaille pour ses populations à l’image de son illustre hôte Yaya Djammeh même si, les moyens sont disproportionnels (la Gambie, n’ayant pas de pétrole). Voilà qui méritait d’être pendu publiquement.
Tout dirigeant progressiste qui travaille pour son peuple en toute indépendance diversifiant ses partenaires en faisant respecter les lois et règlements sans parti pris, est taxé de dictateur par l’occident. Et bonjours, les dégâts-déstabilisation avec des campagnes de diabolisation, de matraquages médiatiques, trempées dans un océan de mensonges et de manipulation (leur fort) pour parvenir à leur sale besogne. Activant par ailleurs, des activistes, des syndicalistes, des sociétés civiles véreux. Parmi les nombreux cas, celui de Mobutu du Zaïre qui, décidant de changer de cap … fut accusé d’avoir détourné l’équivalant de la dette de son pays. Finalement, il n’a été trouvé qu’un million de dollar dans son compte.
Yaya Djammeh est bien dictateur du développement comme il l’a si bien dit dans l’interview accordé à J. A. Et, il l’a prouvé (allez savoir). Malgré les blocages, les hostilités occidentales et les nombreux coups d’Etat et d’agression dont il a été l’objet. En nationaliste Yaya Djammeh, a osé couper le cordon ombilical qui liait sons pays au néocolonialisme (Commonwealth, CPI, APE) et assainir les mœurs (criminalisation de l’homosexualité) lutte contre la criminalité (peine de mort) La Gambie est également un exemple de réussites dans de nombreux domaines dont celui de la santé, du tourisme, de l’éducation, de la sécurité, de la lutte contre la corruption… En Gambie les populations qui savent où on a mis leur argent, ne meurent pas de faim non plus. Les africains doivent se départir des notifications des institutions de Bretton Woods. Souvent, citée en exemple dans un des pays voisins et ça fait jalouser et peur… N’est-ce pas le même scénario entre H B… et le grand Thomas Sankara ?
De tels hommes sont à effacer dans la mémoire collective. Peine perdue ! Ils sont jaloux de la réussite de Africain qu’ils veulent maintenir dans une éternelle dépendance.
Il n’ya jamais eu de guerre, de rébellion et de génocide en Gambie. Pas d’effusion de sang avant et après pouvoir qui lui est… Contrairement a d’autres Occidentaux et Africains qui ont à leur actif des milliers-voire… de morts. Aujourd’hui on a l’impression que axu Yaya Djammeh est entrain de s’abattre sur ses… Propos d’un jeune chauffeur de son état, ressortissant d’une grande cité religieuse « Si Dieu paie Yaya Djammeh, il ne sera pas mécontent….. »
Aux Africains de se valoriser, de savoir choisir et élire leurs dirigeants en discernant sur les données des médias et sociétés civiles occidentaux et occidentalisés (alimentaires subversifs et rétrogrades).
Le 03/02/2017
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