Kaolack : Serigne Momar Sokhna démonte les dire de Modou Ndiaye Rahma sur le 3e mandat…
Le Grand Mouvement pour le Développement du Sénégal (G.M.D.S) est très remonté contre Modou Ndiaye Rahma et Cie. Ces derniers ont dit que les chefs religieux de Koalack ont validé la candidature de Macky Sall. Une sortie qui n’agrée pas le coordonnateur dudit mouvement, Serigne Momar Sokhna.
La colère
« Parlant de cette élection, nous fustigeons énergiquement la sortie maladroite de Modou Ndiaye Rahma et de ses affidés en tentant de dire que les chefs religieux de Kaolack ont validé la Candidature du Président Macky Sall« , lit-on dans un communiqué parvenu à la rédaction de Senego.
Le Grand Mouvement pour le Développement du Sénégal regrette les propos de Modou Ndiaye Rahma. « Un mensonge qu’il a fabriqué de ses limites et de sa carence intellectuelle. Et je suis au regret de demander à Monsieur Modou Ndiaye Rahma d’arrêter ses mensonges. Oui, il ment et il sait qu’il ment ! Les chefs religieux de Kaolack, c’est les familles de Baye Niass, Mame Khalifa Niass, Serigne Bassirou Mbacké, Kanène, ect…« , a dit le président de la Section communale du Parti Démocratique Sénégalais de Latmingué, Serigne Momar Sokhna avant de s’interroger : « qu’il dise à l’opinion quel chef religieux a validé la candidature de Macky Sall ?«
Le mensonge
La note ajoute : « tout le monde sait que nos foyers religieux sont équidistants des leaders politiques, ils n’ont pas de Candidat. Ils n’ont pas de Candidat et aucun chef religieux n’a fait de déclaration pour soutenir une quelconque candidature de Macky Sall pour un 3eme mandat. Aujourd’hui, c’est avec regret que je vois en tant que talibé de Baye Modou Ndiaye tenter de ternir l’image de nos chefs religieux. La vérité est que, s’il était disciple de Baye Niass, il n’aurait pas dit de tels propos.«
Ramadan oblige
Enfin, le Grand Mouvement pour le Développement du Sénégal (G.M.D.S) souhaite un bon ramadan à la population de la Commune de Latmingué et du département de Kaolack. Ledit mouvement a décidé de partager en cette période de jeûne, du sucre malgré les maigres moyens en tant que parti de l’opposition.