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Journalistes persécutés : Pour "une presse qui refuse de céder à la peur", A. Tine

Les droits de l’hommistes et autres Sénégalais épris de justice restent préoccupés par les restrictions liées à la liberté d’expression. Des journalistes, à tout-va, sont convoqués à la police. Alioune Tine qui  s’en désole, leur apporte son soutien.

Les derniers en date, Serigne Saliou Gueye, directeur de publication du journal ‘Yoor Yoor’, bénéficiant d’un retour de parquet mercredi, Modou Ndiaye, administrateur de Bambey TV, placé ce mercredi sous mandat de dépôt , de même que  Maty Sarr Niang.

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« La convocation, à la police, du journaliste Serigne Saliou Guèye vient allonger la longue liste des atteintes graves face à la liberté de presse. Je lui apporte mon soutien et l’encourage à continuer son travail malgré les pressions et intimidations qui sapent les fondements démocratiques de notre société », a twitté Alioune Tine.

Et le fondateur du think tank Afrika Jomcenter de réaffirmer son « engagement en faveur d’une presse libre et indépendante qui refuse de céder à la peur et promeut un débat public sain et équilibré ».

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Pendant ce temps, la Coordination des Associations de presse (CAP) se réunit ce jeudi à la Maison de la presse pour la conduite à tenir.

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4 commentaires

  1. Fall

    Alioune encore la diffamation, la calomnie et le mensonge. Les soi-disant journalistes ont violé la loi et en calomniant de paisibles citoyens sénégalais. Comment quelqu’un qui prétend défendre les droits de l’homme peut-il parler de liberté de la presse menacée. Ces faux journalistes ont à faire avec la justice sénégalaise et aux victimes de leurs mensonges et calomnie.

    Fichez nous la paix, vous n’êtes plus crédibles à nos yeux.


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