Les relations entre José Mourinho et Arsène Wenger ne sont pas réchauffées ce vendredi à la veille de la 7e journée de Premier League.
«Je pense que dans ce pays, seul un entraîneur n’a pas de pression, a lâché le Special One. Steve (McLaren, coach de Newcastle) a la pression, j’ai la pression, Brendan (Rodgers, Liverpool) a la pression, Manuel Pellegrini (Man. City) a la pression… On ne peut pas perdre de matches ou décevoir. On se doit d’atteindre nos objectifs. C’est pour cette raison que j’ai de la sympathie pour eux et je pense qu’ils en ont pour moi. C’est un métier difficile. Il n’y en a qu’un, pour des raisons que j’ignore, qui est en dehors de cette liste. Tant mieux pour lui.»
Lorsqu’on lui demande faussement naïvement à qui il faisait allusion, José Mourinho ne cite par le nom de l’Alsacien. Mais la boite à tacles fonctionne toujours:
«Il peut parler aux arbitres avant et après le match, pousser les autres en dehors de notre zone, il peut pleurer le matin, pleurer l’après-midi, rien ne se passe. Il n’est jamais atteint, il garde son job et est toujours le roi. C’est un privilège.» Des mots durs qui ne devraient pas permettre une réconciliation entre les deux hommes de sitôt.
rmcsport
Entre Mourinho et Wenger c'est toujours une vrai rivalite vraiment sa ne devais pas etre le cas,du moment ou les deux clubs qu'il entraine sont issue de la meme ville,quand Arsenal et Chelsea se rencontre on parle de derbie Londonien mais il y'a un vrai derbie entre Mourinho et Wenger et c'est chaud!!!