S’agit-il d’une contre-offensive occidentale en réponse à la présence russe au Mali ? En tout cas Macky Sall, qui prendra la présidence tournante de l’Union africaine en février prochain, recevra du beau monde à l’occasion du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité, prévus les 6 et 7 décembre.
Dakar va accueillir de grandes personnalités de pays membres de l’OTAN, en l’occurrence les ministres français Jean-Yves Le Drian et Florence Parly et trois sous-secrétaires Américains. Cela, quelques jours après la visite du secrétaire d’Etat américain à Dakar.
« Organisé par l’un des leaders français de l’intelligence économique, Avisa Partners, ce barnum consacré à la paix et la sécurité sera l’occasion d’aborder les visées de l’organisation paramilitaire russe Wagner sur le continent. Le 16 novembre, les 27 Etats membres de l’Union européenne ont trouvé un consensus pour sanctionner le groupe de mercenaires dont les Occidentaux redoutent une intervention au Mali. « La menace que fait peser Wagner est importante et inquiète aussi bien à Bruxelles qu’à Washington », observe un diplomate français », détaille le site français challenges.fr, dans une publication, mercredi.
Le 7 octobre dernier, la cheffe de diplomatie sénégalaise affichait ses « inquiétudes » au sujet de la présence des Russes au Mali. Selon Aïssatat Tall Sall, la décision de faire intervenir le groupe de sécurité privé russe Wagner aurait dû être discuté entre le Mali et ses voisins, dont le Sénégal.
« La sécurité, rappelait Me Sall, doit être un élément partagé. Les stratégies de sécurité doivent être des éléments que nous devons de façon consensuelle arrêter ensemble et entre nous. Donc, la chose que nous avons déploré, tout en respectant leur volonté d’avoir leur souveraineté sécuritaire, c’est que nous n’ayons pas discuté de ça. Quand je dis, nous, c’est aussi bien la France, le Sénégal, tous les partenaires engagés au Mali, dans le cadre de la MINUSMA.
Je voudrais quand même rappeler que le Sénégal, en Afrique, est le premier pays contributeur dans le cadre de la MINUSMA. Nous avons plus de mille de nos soldats engagés au Mali. Ne serait que pour cela, en dehors même du facteur de voisinage, du facteur de ce destin commun que nous partageons avec le Mali, depuis que nous sommes devenus indépendants ».
TOUT CES SUBTERFUGES TÉMOIGNENT QUE L’AFRIQUE RESTE ET DEMEURE UN CONTINENT LIGOTÉ PAR LES PUISSANCES OCCIDENTALES
vive le mali ils ne vont pas discuter avec aucun pays pour résoudre leur problème la France n’a qua dégage le mali appartient aux malien même nous la nouvelle génération Sénégalais on ne va pas discuter avec la France terroristes qu’il dégage sur notre sol