Interdiction de « Feug Diay « , la colère des commerçants (vidéo)
L’annonce d’une possible interdiction de « Feug Diay « , une pratique bien connue dans le commerce sénégalais, suscite déjà une vive opposition parmi les commerçants.
Ces derniers, qui considèrent cette méthode comme essentielle à leur activité, expriment leur désaccord face à cette décision imminente du ministre du commerce.
Suivez!
Vous navez meme pas honte de vouloir continuer et vivre et porter des habits utiliser et jeter par les autres. Les Africains amou niou bene dignite tchimmmm salete
Nitt bou nnioule kouko beugua deffere sakh ya faye desse. Ndare rekkk khamou niou lou bakh beugou niou les bakh. Les dechets de l’humanite.
Avant , il faut proposer mieux a la place en terms d emplois de disponibilte et de prix d acquisition .
Moi je veux qu’on l’interdit
c est pas notre probleme c est vous les analphabete de marchand ambulant qui on voter pour ces incapables et des gens mauvais comme ousmane sonko et consorts qui ont une haine envers les senegalais la plupart de ces gens de pastef sont des indigenes a qui leur famille n ont rien foutus dans ce pays
Il n’ a jamais été question d’interdiction
Soyez sérieux Vérifier vos sources avant toute publication
nous n’avons pas besoin de vêtements jetés en Europe
Wa ex BBY🤣🤣🤣
N’importe quoi, c’est pas une interdiction , il veut rendre le secteur formel avec des créations d’entreprises
Boulene sonal Nit to Yeneu begu changement rek ministre dou bayi d nako Def ba mou nekh assume rek
Vous avez porté au pouvoir des menteurs et manipulateurs qui vous ont vendu des rêves. Assumez maintenant. En attendant je bois mon thé tranquillement 😀😀
Voilà ce qu’on dit des méchants et jaloux comme vous. Vous attendez la moindre grogne pour étaler toute votre étroitesse d’esprit et votre haine hideuse. Vous attendrez longtemps et vous n’obtiendrez jamais de satisfaction. Allez au diable !
Pour développer un pays, il faut des choix forts. Vous verrez les avantages sur l’industrie au fur et à mesure.
Masla.akk beug lou neikh nieup mtx deukou Afrique yi douniou deime
Dîtes nous quelles sont les industries textiles qui existent au Sénégal ?
Il n’y en a pas.
Donc que cherche t’on à protéger ?
Une industrie qui n’existe pas ?
Donc on ferme les frontières et on commence à bâtir ?
Entre temps on met des milliers de personnes au chômage et un pant de la population incapable d’acheter du neuf car sans pouvoir d’achat.
Ceci est une course suicidaire pour Pastef.
Le gars est fini !
Il a étalé son incompétence.
Guissa goût lènn dara.bakhna thi yenn. Manipulé nannou lènn ba fallu. Doff guenn
La mode jetable entraîne une augmentation considérable du gaspillage de vêtements. On estime qu’un tiers des vêtements produits chaque année ne sont jamais portés et finissent à la poubelle. Ces déchets vestimentaires sont principalement enfouis ou incinérés, générant ainsi des émissions de gaz à effet de serre et la pollution des sols.
De plus, l’incitation à la surconsommation engendrée par le fast-fashion contribue à l’épuisement des ressources naturelles et à l’aggravation des problèmes environnementaux liés à la production de vêtements.
Les conditions de travail dans l’industrie textile
Outre les impacts environnementaux, le secteur de la mode est également associé à des problématiques sociales, notamment en termes de conditions de travail. Le modèle du fast-fashion repose en grande partie sur l’exploitation de la main-d’œuvre dans les pays à bas coûts de production, où les salaires sont faibles et les droits des travailleurs souvent bafoués.
Ces conditions de travail précaires ont été mises en lumière par plusieurs accidents et catastrophes, comme l’effondrement du Rana Plaza au Bangladesh en 2013, qui a causé la mort de plus de 1 100 travailleurs du textile.
Fëgg diaye » : L’annonce forte du ministre du commerce.
Un problème mondial de pollution dans le monde n’est pas compris par les Sénégalais et mal traité dans l’émission Diakarlo. Même si je suis en accord avec l’intervention de Bouba N’dour sur l’obligation d’exemplarité des autorités. Le feug diay est un problème dans beaucoup de pays. Est-ce qu’on recycle les déchets textiles dans nos pays? C’est du plastique aussi, avec une préoccupation pour l’environnement. J’ai exploré la campagne sénégalaise pour observer les dégâts.
Pollution : Le désert d’Atacama, décharge mondiale de la mode
HYPERCONSOMMATION• Face aux millions de vêtements qui envahissent le désert d’Atacama, au Chili, des initiatives locales voient le jour.
AAlto Hospicio, les dunes ne sont pas composées de sable mais de vêtements usagés, de la jupe en strass aux après-ski, tout ce que la mode éphémère peut produire vient finir sa vie ici. Pour lutter contre ce fléau des acteurs locaux se mobilisent.
Le Chili s’est spécialisé depuis une quarantaine d’années dans le commerce de vêtements de seconde main. En provenance des États-Unis, du Canada, d’Europe ou d’Asie, tous les textiles dont les consommateurs ne veulent plus constituent les 59.000 t qui arrivent chaque année au port d’Iquique. C’est dans cette zone commerciale, aux droits de douanes préférentiels, qu’a lieu un premier tri pour la revente dans le pays ou l’export vers d’autres pays latino-américains.
Des déchets textiles qui génèrent de la pollution
Rien qu’à Alto Hospicio, environ 39.000 t de déchets sont entreposées illégalement.
« Les dommages et l’impact environnemental de ces microdécharges en général, et de celles de déchets textiles en particulier, ne font aucun doute pour les communes où elles sont situées » explique Moyra Rojas, secrétaire régional du ministère de l’Environnement. « Ces microdécharges génèrent quelques incendies, ce qui produit évidemment une pollution atmosphérique, et certaines sont également situées près de zones habitées. »
Qu’ils soient enfouis sous terre ou laissés à l’air libre, les textiles ne sont pas biodégradables, leur décomposition chimique peut prendre des dizaines d’années, et pollue l’air et les nappes phréatiques.
Des initiatives locales
Tous les vêtements qui ne passent pas les filtres de la revente ou de la contrebande finiront dans les décharges sauvages. Après dix ans à travailler dans la zone franche d’Iquique, Franklin Zepeda, las de voir ces « montagnes de déchets textiles » près de chez lui, a décidé de « sortir du problème pour faire partie de la solution ». En 2018 il crée Ecofibra pour faire face à ce problème grandissant. « Ces déchets sont ceux qui allaient dans le désert et maintenant, nous les utilisons comme matière première pour fabriquer nos panneaux d’isolation thermique. »
La société Ecocitex, elle, collecte, vend et donne des vêtements d’occasion, elle fabrique également du fil de vêtements recyclés. Rosario Hevia, président d’Ecocitex, insiste sur la nécessité « d’éduquer les gens pour qu’ils réduisent leur consommation de textiles inutiles et qu’ils se chargent d’en prolonger la vie utile. » Elle explique que c’est en changeant de manière de consommer que l’on pourra réduire la production de déchets.