Le gouvernement du Gabon a instauré un couvre-feu et suspendu l’accès à internet le samedi 26 août, à la fermeture des bureaux de vote pour la présidentielle et les législatives. Ces mesures ont été annoncées quelques heures après que Albert Ondo Ossa, le principal candidat de l’opposition, a dénoncé des ‘fraudes orchestrées’ par le camp du président sortant Ali Bongo Ondimba.
Ces actions sont mises en place dans le but d’éviter ‘la propagation d’appels à la violence et des fausses informations’, selon le gouvernement. Rodrigue Mboumba Bissawou, le ministre de la Communication, a précisé que l’accès à internet serait suspendu jusqu’à nouvel ordre sur tout le territoire. Le couvre-feu serait en vigueur tous les jours, de 19 heures à 6 heures, à partir du dimanche 27 août.
Ces élections se sont déroulées sans la présence de médias étrangers et d’observateurs internationaux. Reporter sans Frontières (RSF) a dénoncé le refus d’accréditations ou l’entrée dans le pays pour ces entités, africaines comme européennes.
Ca jusqua quand pauvre afrique que des dirigeants de merde comme ibou ndaffa, wattara, bongo etc…
Quelle honte pour notre continent. Retournons à la colonisation. C’est mieux que la dictature , assassinants, complot, restrictions des droits des citoyens, coup d’état , justice manipulée, vol . Thieuy Afrique
Triste pour l’Afrique
Quelle honte pour ces présidents vautours les africains doivent changer de méthodes pour éliminer les présidents arrogants.
Toujours chez les noirs, dégueulasse.
Appelez la CEDEAO
Vive l’Afrique
On s’en fou
Iyo ces l’Afrique est nos dirigeants dictateur malfamé de pouvoir avéc ça quand t’ésk l’Afrique va se développer
C’est Lamentable